Je trouve donc intéressant de le reprendre.¸
De plus, le sujet est encore d'actualité, mais pas pour les mêmes raisons. Même à ce temps-ci l'année dernière, c'était la course folle pour recruter de la main d'œuvre. On prenait même la peine de préciser que ce n'était pas nécessaire d'avoir son secondaire V pour avoir un bon emploi rémunéré.
Il y a 2 jours, à la télé, on disait que de jeunes diplômé en technique minière ne trouvent plus d'emploi. Ceux qui dispense la formation disent qu'il ne faut pas s'inquiéter, que ça va revenir.
Un autre aspect est d'actualité: ce que le Parti québecois en a fait. On a changé le nom punché: Plan Nord pour Le Nord pour tous. Pour moi, c'est débile de jouer ainsi sur les mots et dire de façon compliqué ce qui était si simple.
C'est dans ce contexte que je fais un détour improvisé dans le temps.
vendredi 24 septembre 2010
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Mais Fermont, c'est bien plus qu'un mur. J'ai bien d'autres découvertes à vous faire partager. Notre ami Gaétan semble éprouver beaucoup de nostalgie en pensant à ses années à Fermont. Et je le comprends! Et que dire de Nanou dont le père y a travaillé comme ingénieur. (Voir commentaires sur message précédent).
Vous pourrez voir le billet au complet en cliquant sur le lien en haut, à droite.
On y trouve un lien sur les 10 billets qui ont été les plus consultés depuis que j'ai un blogue.
3 commentaires:
Après le «Plan Nord», on nous présente «Le Nord pour tous», et comme tu dis, Jacques, c'est débile, oui.
Est-ce que nos politiciens sont à court d'idées neuves pour avancer ? Ou ont-ils tout simplement peur de prendre leurs responsabilités, craignant trop les semonces, voir même les menaces de la haute finance et de l'industrie, de ceux-là même qui ne jurent que par le mot «profit» ?
Le PQ a beaucoup critiqué le précédent gouvernement a propos du «Plan Nord», le problème est qu'une fois au pouvoir, peu importe leur allégeance politique, les nouveaux gouvernements s'aperçoivent bien vite qu'ils n'ont pas vraiment le pouvoir. C'est «L'ARGENT» qui l'a. Alors ils brodent afin d'essayer de ne pas perdre la face. Résultats : les politiciens sont de moins en moins crédibles aux yeux de la population qui se réveille. Alors, pour palier à cette débilité qui est de plus en plus évidente, ils n'ont d'autres choix que de créer des lois et des règlements tout aussi débiles, en plus d'une sécurité de plus en plus omniprésente, car ils ont peurs des citoyens qui sont de moins en moins leurs dupes.
Si j'ai confiance pour le plus long terme, je n'en suis pas moins très pessimiste pour le court terme, quant au climat social.
Tout à fait d'accord avec toi sur toute la ligne, Réjean. Le plus triste, c'est que je ne vois pas d'alternative valable actuellement.
Ce qui se passe sur l'Ile d'Anticosti en est un autre exemple sur lequel j'aimerais revenir plus tard.
Tu as raison, ce billet est toujours criant d'actualité.
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