samedi 30 août 2008

Rendez-vous manqué

Dernier billet d'août

Pour du bonheur, ça prend des rêves.
Mais, il y a un risque: avoir le coeur ou l'âme brisé. C'est le prix à payer.
Ça nous arrive tous un jour où l'autre, on met tous nos rêves dans une liasion prometteuse, dans un projet si emballant qu'on a mal à dormir. Mais soudain, réveil brutal. On se retrouve devant un rendez-vous manqué. L'instant est parfois si cruel qu'on veut mourir. Pour vous mettre dans l'ambiance, cliquer sur Faut-il mourir ou vivre.


C'est pour illustrer cette réalité que la photo ci-haut fut prise. Elle paraîtra sur le feuillet du prochain album de Carole Caracol, autrefois du groupe Les DobaCaracol. Cette photo représente une mariée seule. Au grand damn de tous, le marié ne s'est pas présenté. Les parents du mariés, représentés par José Facal et Martine JeanRenaud, les véritalbes parents de Caracol,sont dans tous leurs états. J'ai l'honneur de représenter le père du marié qui ne s'est pas présenté. Laure est à ma gauche. Nous préférons éviter tout regard pour ne pas être foudroyés.

Comment nous sommes-nous retrouvés là ?

Il faut relire ici un de mes anciens billets pour avoir la réponse. Vous vous souvenez de la photo de gauche? Pour relire le billet à ce sujet, vous pouvez cliquer sur le lien: L'Avenir, cet inconnu.

La clé de l'énigme. La photo sur laquelle nous nous retrouvons en haut du billet sera reproduite dans un feuillet accompagnant le nouvel album de Caracol. La sortie de l'album est prévu pour les 8 et 9 septembre 2008.

Pour plus de détails, cliquer sur L'Arbre aux parfums


Quoi faire aujourd'hui le 8 septembre 2008

Vous pourrez avoir accès à de bien belles compositions et rêver.

Détail intéressant sur le mot damn que j'ai utilisé plus haut:


« Franchement, ma chère, c'est le cadet de mes soucis. » est la réplique finale de Rhett Butler (Clark Gable) à Scarlett O'Hara (Vivien Leigh) dans le film Autant en emporte le vent datant de 1939.

Sa version originale, Frankly, my dear, I don't give a damn. a été élue officiellement plus grande réplique du cinéma américain en 2005, alors qu'elle aurait pu être censurée lors du tournage par le code Hays.

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