samedi 13 septembre 2008

Un événement qui change la vie



Moi j'aime bien l'idée d'un Paradis
Ça besoin d'être beau
As-tu vu le prix ?
Jipé Dalpé (La vie après la vie)





J'aime bien ces paroles.

Elles collent à ma peau,
à ce que mon père a dit la dernière fois que je l'ai vu:

Je suis sûr que Dieu existe. Ça ne se peut pas avoir autant souffert pour rien!" . Elles sont bien émouvantes ces paroles

Ma mère ne l'a pas eu facile non plus. Vraiment pas! Elle était très croyante. Elle me disait toujours:

"Je n'ai pas peur de mourir. Je suis prête à affronter n'importe quoi. Mais je souhaite garder ma tête jusqu'à la fin".

C'était son seul souhait. Et elle méritait bien d'être exaucée. Ce ne fut malheureusement pas le cas. L'Alzheimer, puisse qu'il faut l'appeler par son nom, a eu raison de sa tête. Prendre soin de quelqu'un qu'on aime, dans de telles conditions, relève du défi. Mais je ne regrette pas de l'avoir fait. J'aimerais le refaire... en mieux. Quand on veut trop en faire, on a souvent l'impression que ce n'est pas assez.

J'ai une tante infirmière (Jacqueline) qui était venue vivre chez nous après le décès de ma soeur Nicole en 1957. Elle et moi, je crois que nous n'avons que 6 ans de différence et quelques poussières. Elle a toujours été très près de ma mère et de nous. Un jour de l'année 2001, elle m'a téléphoné pour me dire que ma mère n'allait pas bien et qu'il était urgent de l'amèner à l'hôpital. J'étais en train de dîner. J'ai vite terminé mon repas et je suis allé la chercher. Ce simple coup de fil allait changer ma vie pour longtemps.

Ma mère fut accueillie avec de grandes réserves à la salle d'urgence parce qu'elle n'était pas de la région. J'ai juré à ma mère de régler le problème. La solution était simple: lui trouver une résidence à proximité de chez moi.

Laure, ma compagne de toujours était d'accord,
mais consciente de tout ce que ça impliquait.
Je l'ai vite réalisé, moi aussi.
J'ai vite réalisé tout ce que ça demandait d'être un aidant naturel.
C'est pas si naturel d'être aidants dans de telles conditions.Laure m'a très bien compris, supporté.
Malgré cet appui, je me suis senti bien seul.

Si je raconte ceci, c'est que je sais combien de personnes comme moi ont vécu et vivent encore la même expérience. Et si je le pouvais, j'aimerais qu'elles se sentent moins seules. C'est également pour vous présenter deux blogues qui se trouvent dans mes favoris dans la bande bleue de droite:

  • Boomers en santé
    Pour identifier des pistes de solutions qui permettront aux Boomers de maintenir une bonne santé en utilisant le maximum de ressources à leur disposition ou en adoptant de saines habitudes de vie. Les meilleures approches de communication avec les Boomers.

  • Rien qu'une petite minute

    Essayer de ne pas vieillir…est insensé !

    Pourtant, combien de publicités, de programmes de santé ou d’aventuriers nous le proposent, le tout accompagné de cocktails ou de potions miracles plus ou moins associées à la fontaine de Jouvence ou à la pierre philosophale.

    Vouloir résister à la nature, c’est se cabrer pour rien. C’est du temps et des énergies perdues. Avons-nous déjà vu quelqu’un tenter de maîtriser un ouragan, un orage électrique ou une tempête de neige ? C’est impossible. Nous n’avons qu’à en être les témoins et prendre les mesures utiles pour faire face aux circonstances. Si l’on essaie de refuser cette réalité, c’est peine perdue
    .

Les deux points de vue, bien qu'à l'opposé montrent l'ampleur de la réalité.

On peut cerner sa réalité,
vouloir orienter son destin,
on doit un jour ou l'autre lâcher prise,
faire preuve de docilité, je dirais même d'humilité,

parfois même se laisser aspirer.
Nous sommes tout petits dans l'espace et le temps.

À suivre...

Dieu ou Destin

La vie nous réserve parfois bien des surprises au moment où on s'en attend le moins.

Un événement peut bouleverser complèment notre vie, sans crier gare. Il suffit d'un seul événement, pafois très anodin. Quand je pense à ce que vivent des dizaines de fromageries du Québec, j'ai le goût de pleurer. Un si noble métier! Et dire qu'à l'origine, il y a pu n'y avoir qu'un seul couteau mal lavé. Mois, j'avoue que parfois, je lave un peu vite mes couteaux. Que Dieu me pardonne! Qu'il me pardonne mes offenses comme je pardonne à ceux qui m'ont offensé. Je me retiens pour ne pas donner de noms, en commençant par la famille Trudeau.

D'accord, il y a eu des infections, des morts. Il y a eu de l'information suivie d'une panique bien compréhensible. Aurait-on pu faire mieux? Je suis mal placé pour le dire. Mais pour tous les travaileurs de cette industrie, c'est un bien triste destin. Il y a une certaine similitude avec les pêcheurs de phoques des iles, les travailleurs des usines d'amiante.

Tantqu'à moi,Brigitte Bardot peut aller se rhabiller. Et, personnellement, je vais continuer à manger du fromage. C'est une question de choix.




En attendant, les souris sont comblées.
Elles croient au miracle et remercient le Ciel.



Hervé Philippe de La Tribune

vendredi 12 septembre 2008

Tourments de l'âme

Cette image évocatrice, je l'ai trouvée sur la page de Âme tourmentée dont le lien est dans mes favoris à droite.
Elle me parle. Elle a attiré mon regard, mes pensées.
Ce que lon voit, c'est fort, puissant, magestueux...
et toujours le fruit du hasard. L'effet ne dure jamais lontemps.

Pourquoi j'ai choisi de mettre le lien dans mes blogues préférés ?
Ce n'est pas un hasard. Tous les liens que j'ai choisis avaient un rapport avec ce que je suis, mon vécu, le paysage que j'observe dans mon intérieur.

Après avoir vu cette photo, j'ai tout naturellement jeté un coup d'oeil sur l'auteure du blogue. Le texte suivant m'a séduit:

Qui êtes-vous ?
Une trentenaire à l’âme tourmentée. Solitaire et asociale invétérée. Vivant d’émotions et de passions. Cherchant sans cesse la sérénité, dans son esprit sans zones grises et coloré. Tantôt paisible, tantôt troublée, je suis une âme tourmentée et solitaire sur la terre surpeuplée.

En parcourant les lignes du blogue, j'ai été amené à rencontrer quelqu'un qui pourrait être ma voisine, ma cousine, ma soeur. V oilà un être complexe, aux multiples facettes comme il en existe plusieurs. Il y a de la vie, de la paix, de la curiosité. La diversité de ses centres d'intérêt étonne. Il y a une sincérité et une intensité qui frappent. On se reconnait. On chemine tout en se demandant si on doit continuer d'avancer ou reculer, chercher des amis ou sa solitude, rire ou pleurer, réfléchir ou laisser vagabonder son esprit. Je me reconnais et j'en suis fier.

Pour moi, tout ça, c'est un jardin fertile. Si tout ça n'existait pas, je pense que la poésie, le romantisme n'existeraient pas. Les arts n'auraient pas autant d'éclat. La pensée humaine serait moins riche.

Alors je veux bien garder ce blogue pour continuer à ressentir des nouveaux sentiers où le hasard et les coïncidences peuvent fleurir. Et je continuerai d'y vagabonder en solitaire, au risque d'affronter un peu de tourmente dans mon âme, sachant que je partage ce sentiment avec tant d'autres sur une terre surpeuplée.



Cette terre est aussi tourmentée que nous

jeudi 11 septembre 2008

Choisir ou suivre






J'ai emprunté plusieurs routes à l'improviste

La vie, c'est comme ça:


On ne choisit pas:

le jour de sa naissance
le jour de sa mort
le pays où l'on nait
sa famille
la couleur de sa peau
son cerveau
son sexe
son corps
les saisons
le temps qu'il fait, la couleur du ciel
C'est le hasard qui décide!


Mais on choisit ses amis.
Et cette liberté de choix, j'ai toujours décidé de m'en prévaloir.
C'est un privilège que je défends jalousement.
Le mot amitié est trop précieux pour le diluer.
Je n'invite pas par politesse.
Je ne livre pas mes états d'âme s'ils ne sont pas bien sentis.
Je ne dis pas "Je t'aime" sans aimer.

Il en est de même pour mes blogues préférés.
Je ne mets pas un blogue dans la case bleue à droite au hasard.
Je consulte la liste des blogues,
je visite ceux qui piquent ma curiosité,
ceux qui me charment.
Et je sais toujours pourquoi un blogue me plait.
Je sais pourquoi je les place dans la case bleue "viagra",

à droite de mon blogue.



Tous les blogues que j'ai choisis sont des cailloux sur un chemin emprunté par hasard. Ils sont des repères que je veux retracer pour me guider dans un cheminement vers une direction que j'ai choisie.

J'ai le goût de partager la suite avec vous, vous dire pourquoi les blogues de la section bleue sont là. Vous voulez savoir? Ça tombe bien. J'ai le goût de le dire.

Invitation
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mercredi 10 septembre 2008

Sexe, et pire au hasard


Comme disait Confucius (philosophe chinois de l'antiquité), ce n'est pas en naviguant au hasard sur Internet, qu'on peut trouve le bonheur.

On peut trouver de tout sur Internet, même des sites de sexe. Je vous le jure, je l'ai vécu. Si vous ne me croyez pas, chercher Sexe sur Google. Vous allez resté surpris. C'est effrayant! Essayer même le mot infirmière en choisissant l'option IMAGE. Vous allez rester estomaqués.

J'ai déjà travaillé à l'hôpital, j'en ai vu des infirmières, j'ai déjà visité des malades. J'ai déjà été moi-même hospitalisé. Et je vous jure tout ce qu'on vous montre sur Google, c'est une déformation de la réalité. Trop beau pour être vrai! :-)) Mais l'imaginaire fait souvent le pont entre le rêve et la réalité.
Je suis stupéfais de voir tout ce qu'un jeune peut voir sur internet, la porte fermée. Quand nous étions plus jeunes, il n'y avait pas d'internet. On récitait le chapelet en famille, à genoux sous l'égide du Cardinal Léger. On écoutait l'émission du Père Ambroise à la télé. Le midi, c'était l'émission du Père Marce-Marie Desmarais L'essentiel, c'est le ciel. Les temps ont bien changé. Doux Jésus!

Bien sûr, on ne faisait pas que ça. On jouait aux docteur et aux gardes-malade. Ça c'était mon jeu préféré, plus instructif. Ma mère nous avait déjà surpris en plein jeu de rôle. Elle nous que ce jeu là, c'était laid. Je n'ai pas osé lui dire mais j'étais d'opinion contraire. Ici, les sceptiques ne peuvent pas être confondus. Ce serai risqué de donner des noms.


La première fois que j'ai été hospitalisé, je crois que je devais avoir 6 ans. Je devais être opéré pour les amygdales. Un bien grand mot pour un enfant de 6 ans. L'infirmière qui est venu m'installer dans mon lit d'hôpital m'a demandé pourquoi j'étais hospitalisé. Je lui ai répondu: Je vais être opéré pour les garde-malades. L'infirmière a tellement ri que je m'en souviens encore.

Si vous laisser vos enfants naviguer au hasard sur Internet, ils peuvent tomber sur n'import quoi

  • Des photos de personnages épeurants, capables de perturber leurs rêves, même leur donner des cauchemards.
  • Des recettes pour fabriques de bombes capables d'envoyer votre chat sur le toit de la maison et redescendre par la cheminée
  • Des sites avec des vidéocam commettant des indiscrétions dignes de Loft Story ou Occupation double. Vous pourriez même y voir vos propres enfants comme dans le film Ma fille mon ange



  • On peut vouloir vous voler votre argent en vous faisant tomber dans un guet-apent diapolique
  • On peut vouloir vous voler votre identité et pire encore. Il parait même que Harper a voler l'identidé de Bush sans qu'il s'en aperçoive.

Conclusion:
Ne naviguez pas sur Internet au hasard. Planifiez vos visites sur des blogues fiables, et de bonne qualité.
Mettez mon blogue dans vos favoris et évitez les autres blogues. Du moins pour l'instant.

Dans mon prochain billet, je vous parlerai des blogues que je vous recommande. Par exemple ceux que j'ai comme favoris à droite. Je vous dirai pourquoi je les ai choisis. D'ici là ne prenez pas de chance. Fuyez les zones grises.

Photo Pierre Maestre.

samedi 6 septembre 2008

L'absence remarquée

Ce billet fait suite au précédent.
Pour en faciliter la compréhension, je me permets de reproduire le dernier paragraphe du dernier billet

On peut rire de tout, mais pas avec n'importe qui
Pierre Desproges



Un jour, Daniel m'a appelé de sa chambre d'hôpital où il venait d'être admis d'urgence. Je me suis empressé de m'y rendre. On m'a expliqué qu'il était dans une section isolée et que je devais porter un masque pour aller le voir. Tabarouette! Que je me suis dit. Ça doit être grâve.

Pour moi tout ce décor était surréaliste. J'ai entamé la conversation, comme on le fait toujours en demandant à Daniel: Comment ça va ? Et, selon ce que veut l'usage, il m'a répondu: Ça va bien. Et à le voir, rien ne laissait croire que ce n'était pas le cas.

Daniel m'a expliqué le contexte qui l'avait amené à l'urgence et son passage rapide en isolation. Il m'en parlait de façon tellement décontractée que je n'ai pu m'empêcher de rire en imaginant la peur qu'il avait dû ressentir. Nous avons ri de bon coeur, parlant de choses et d'autres. Et je suis reparti de bonne humeur en lui promettant de revenir.

Deux ou trois jours plus tard, j'apprenais son décès. Je prenais toute la mesure du fait que la vie ne tient qu'à un fil. J'étais bouleversé et me sentait incapable de me rendre le voir au Salon funéraire. Il venait de la Gaspésie. Je ne pouvais rien lui apporter en lui rendant visite au Salon funéraire. Et de toute façon, je trouvais que c'était une coutume barbare que d'exposer un corps après le décès. Je trouvais même que c'était de l'indécence.

Le lundi, en revenant au travail, on m'a appris que toute la fin de semaine, la copine de Daniel avait demandé, au Salon, si j'allais venir faire une visite. Aux funérailles, elle a demandé à mes collègues de travail comment il se faisait que je n'était pas venu voir Daniel avant son dernier repos.

Cet incident a transformé à jamais ma façon de voir et d'agir lors d'un décès. Depuis ce temps, je me fais toujours un devoir d'être présent lors d'événements tragiques. Je sais qu'une présence dans ces occasions n'a pas de prix.




La Bohème
Ça ne veut plus rien dire du tout.

jeudi 4 septembre 2008

La bohème


La bohème, la bohème
Ça voulait dire on est heureux...


Cette chanson de Charles Aznavour, Jean-Philippe (Jipé Dalpé) l'a tellement chanté, qu'elle est devenue pour moi comme une chanson fétiche.

Le lien suivant donne les paroles et permet de les entendre par son auteur

On ignore parfois toute l'importance que l'on peut représenter pour des personnes de son entrourage. Une rencontre éphémère, un inconnu qui se trouve sur notre parcours de façon passagère, tout ça peut nous marquer longtemps. Il peut nous manquer alors que peu de temps auparavant nous ne nous doutions même pas de son existence.

Mais le plus étonnnant, c'est l'importance que nous pouvons représenter pour des personnes presque inconnues. J'ai pris du temps à le réaliser et j'en ai été chagriné. Je ne me serais jamais douté à quel point j'étais important pour une demoiselle que je n'avais rencontrée qu'une seule fois dans un party. Elle était belle, sympatique. C'était la copine d'un ami que je connaissais depuis peu: Daniel J.

C'était dans les année 70. Daniel J avait été engagé comme animateur occasionnel pour donner de la formation à tous les agents d'aide sociale du Ministère. J'en étais un. Il habitait la Gaspésie. Son contrat l'amenait à faire le tour des régions du Québec.


Ce bonhomme, dans la trentaine avait tout le physique du peace and love. Bien pris, d'un bon poids, il portait une bonne grosse barbe à la mode de l'époque. Il bégayait, sacrait, ce qui lui allait à merveille et le rendait sympathique.

Je me souviens encore d'un exemple qu'il nous avait donné pour parler des différentes perceptions qu'on peut avoir d'une même réalité:

Après une attaque dans une région du Moyen-Orient, on a retrouvé 40 veuves abandonnées dans un champs.

Un émir les voit et se dit: "Elles sont bien jolies. C'est le temps d'en choisier po-pour regarnir mon harem".

Un travailleur humanitaire les voit et se dit : "Quelle tristesse! Il faut tout de suite faire quelque cho-chose po-pour les aider. Il faut leur trouver un gîte, de la nourriture, même faire appel à de l'aide internationale s'il le faut".

Le pape les voit dans le journal et se dit: "Ta-tabarnak, faut faut faire quelque chose po-pour les con-convertir à la foi chrétienne et peut-être en faire des religieuses

Cet animateur social, tout le monde l'adorait du premier coup. Il était si drôle et si sympatique. Je l'avais vu la première fois dans une formation à Trois-Rivières. Puis, il a été engagé pour quelques mois d'animation en Estrie. C'est là que je travaillais. Instantanément, il est devenu un grand ami. Je le recevais périodiquement à la maison.


Un jour, Daniel m'a dit qu'il faisait du nudisme. Il avait vraiment tout du peace and love. Personnellement, j'étais plutôt pudique de nature. Je lui ai demandé s'il était vrai qu'il fallait tout enlever, vraiment tout tout. Il a confirmé. J'ai ajouté: "Enlever tout tout, sans exception ?" Oui a-t-il confirmé. Alors j'ai dit que je trouvais ça bien dommage parce que j'aurais voulu garder mes lunettes.


Un peu plus tard, Daniel m'a appelé de sa chambre d'hôpital où il venait d'être admis d'urgence. Je me suis empressé de m'y rendre. On m'a expliqué qu'il était dans une section isolée et que je devais porter un masque pour aller le voir. Tabarouette! Que je me suis dit. Ça doit être grâve.



La suite fera l'objet de mon prochain billet.

mercredi 3 septembre 2008

L'arbre aux parfums et l'Azur

Caracol

Aujourd'hui, par hasard, sur la page d'accueil de Sympatico, un lien nous renvoit au lancement de Caracol. On peut voir ceci:





Voilà une dernière fois la fameuse photo où Laure et moi nous nous sommes retrouvés, par hasard. Elle fait partie du feuillet qui accompagne le nouvel album de Carole. Elle illustre sa chanson L'Autel de l'absence. Pour plus de détails voir l'avant-dernier billet: Rendez-vous manqué.






Depuis l'ouverture de ce blogue, j'ai tenté de vous démontrer, avec preuves à l'appui, qu'un hasard peut parfois modifier le cours de notre vie. On ne sait jamais, mon apparition sur cette photo publique sera-t-elle peut-être le début, pour moi, d'une grande carrière cinématographique...

Permettez-moi pour l'instant de revenir sur terre. Le hasard a voulu que Caracol lance son album le même jour que mon propre fils: Jipé Dalpé. Je devrai donc être à ses côtés au Téléphone rouge à Sherbrooke le 8 septembre et au Cabaret Juste pour rire à Montréal, le 9 septembre.

Cliquer sur l'image pour l'agrandir



cliquez ICI pour accéder à la page de Jipé et entendre l'Azur.

On serait directement passé au lit avec Jipé Dalpé. Lui se contente pour l'instant de doux préliminaires.
Dominic Tardif (Voir)
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