lundi 1 novembre 2010

Au delà de la déprime...

Vous savez ce qui me dérange le plus? La corruption? Non. C'est un phénomène normal. Il y en a toujours eu. Il y en aura toujours. Mais il est inquiétant de voir la collusion entre des membres notoires du crime organisé, des ministres et le milieu syndical. Le pire, c'est que lorsque les scandales éclatent, nos élites ne semblent pas trop s'en émouvoir.

Ce qui me dérange le plus, c'est la complicité, la tolérance, l'indifférence. Je crois qu'une nation commence à avoir des vrais problèmes lorsqu'elle a perdu les capacités suivantes:
  1. la capactié de s'indigner
  2. la capacité de juger de la valeur des hommes qui la gouvernent et des actions qu'ils posent.
  3. La capacité d'être solidaires
Mais pour arriver à tout ça, il faut être bien informés. La manipulation et la propagandes doivent être bannis.

Parlons de l'évaluation que les Américains font de leur président. Il y a deux ans, on disait que les Américains étaient le peuple le plus détesté de la terre. Il ont choisi un Président dont on ne peut surtout pas douter de l'intégrité, du jugement et de la bonne foi. On était presque sur le point d'aimer les Américains. On en était presque rendus à se rappeler de leurs bons coups, comme la libération de l'Europe en 1945. Les exemples plus récents commençaient à manquer.

C'était trop beau pour durer. Voilà qu'on l'a rendu responsable de tous les maux de l'Amérique. On l'a blâmé pour la marée noire, la crise financière, tout! Il faut dire que les Américains aiment les super-héros. Dans les séries télévisés on les a habitués à des modèles qui règlent les problèmes à la vitesse de l'éclair. À la télé, ils sont forts les Américains. Ils s'attendent à ce que ça se passe de la même façon dans la réalité.

Mais heureusement, il y a des belles choses qui se passent et dont on ne parlera jamais aux nouvelles. Ce que j'ai lu sur le blogue de Zoreilles m'a rappelé cette réalité. Et ça m'a complètement ramené le moral. Le monde aurait mérité d'être créé même si ce n'avait été que de quelques personnes plutôt extraordinaires que j'ai eu l'occasion de connaître. Zoreilles en fait partie, Nanou, Éléonore, Delphinium, Hala et bien d'autres dont je visite régulièrement le blogue. (Voir section de droite: ma liste de blogues)

Je vous invite à aller visiter le billet secret de tournage révélé , une histoire assez incroyable qui vous montre que le hasard fait souvent bien les choses.

Je vous situe.

Cliquez sur la carte pour mieux voir
Petit détail en passant: regarder le nombre de lacs!

Rouyn Noranda, ça ne semble pas loin comme ça, mais il faut savoir que c'est à 8 heures de Montréal. On peut la voir à gauche,vers le bas. La ville est située au nord du 48è parallèle. Sur cette carte, vous trouverez ma ville Havre-Saint-Pierre, sur le nord du fleuve Saint-Laurent. Havre-Saint-Pierre est à 14 heures à l'est de Montréal. Et pourtant, ce sont les mêmes ancêtres (des acadiens venus des Iles de la Madeleine), du moins en bonne partie, qui ont fondé ces deux régions. Ce sont les mines qui en ont provoqué le développement rapide, bien avant Fermont (1974).

L'histoire urbaine de Rouyn débute avec la découverte de gisements de cuivre dans la deuxième décennie du 20e siècle. Dès 1925, la présence du chemin de fer permet le transport du minerai et facilite la venue des travailleurs. Plusieurs immigrants tentent leur chance. La prospérité annoncée de la région minière fait grimper la population, qui passe de 3225 habitants en 1931 à 14 633 en 1951.

Au cours des années 1930 et 1940, des quartiers apparaissent autour des rues Perrault et Principale pour accueillir la population formée en grande partie d'immigrants. Aux hôtels s'ajoutent des commerces, des banques et des théâtres, formant le cœur commercial de Rouyn. Après les années difficiles de la Grande Dépression, la Deuxième Guerre mondiale relance l'économie.
C'est bête, mais c'est souvent la guerre des uns qui fait la richesse des autres. Et ce sont les période où se font les plus grandes découvertes.

On trouve vraiment de tout à Rouyn au point de vue social, culturel, sportif. Il y a autant de place pour la folie que pour les émotions les plus nobles.

Les festivals sont nombreux y compris celui de la musique émergente. La danse du bicycle, je ne sais pas si c'est eux qui l'ont inventée, mais il ne faut se surprendre de rien. Il faut souligner que le FME (Festival de Musique Émergente) de Royn a été primé la semaine dernière à l'ADISQ: voit FME

Et je m'en voudrais de ne pas mentionner au passage le nom de Richard Desjardins, ce pillier de la résisatance contre les coupes à blanc des arbres des forêts boréales. Et on ne peut passer sous silence la chanson fétiche de l'Abitibi de Raoul Duguay: La bitt à Tibi. Les gens de l'Abitibi ont des racines grandes comme la terre même si l'histoire de cette région est relativement récente. Et leurs ancêtres qui n'étaient surtout pas des gens ordinaires y sont sûrement pour quelque chose.

1930
cliquez pour autres photos anciennes (Plusieurs villes du Québec)


31 0ct0bre 2010

C'était dimanche après-midi, le 31 octobre, sur la scène du Théâtre du Cuivre, à Rouyn-Noranda, lieu principal des projections du Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue. Une partie de l'équipe de tournage du documentaire signé Martin Guérin, Voir Ali, présentait le fruit de deux ans de travail qui racontait une fort belle épopée, un événement survenu en juin 1983.

Ce film, c'est un retour dans le temps. Il retrace une histoire incroyable qu'on a récupérée avant que le temps ne l'efface définitivement. Le génie de ceux qui ont voulu faire le film Voir Ali, c'est de vouloir remédier à un problème sérieux: on ne trouvait plus aucune trace du passage d'Ali: photo, films, reportages... !! Un peu plus et on aurait pu croire que son passage, c'était juste des menteries. C'est comme penser que les hommes sont infidèles. Juste des menteries!

Qu'on aime la boxe ou pas, qu'on ait eu pour idole Cassius Clay devenu Muhammad Ali ou pas, « The Greatest » était bel et bien venu à Rouyn-Noranda en juin 1983, parce que de merveilleux fous s'étaient mis dans la tête de faire ce qu'il fallait de folles démarches, et ensuite d'aller à Los Angeles, lui vendre cette idée-là, faire en sorte qu'il soit séduit et qu'il accepte de venir chez nous, prononcer une conférence lors d'un souper, et ainsi par sa seule présence, aider à constituer le financement qui allait assurer la tenue des Championnats Sportifs Québécois à Rouyn-Noranda.

Voilà pour le contexte. Vous pouvez voir la bande-annonce ici : http://vimeo.com/15468250

Cette histoire est fascinante. Elle a de quoi me faire oublier bien des situations déprimantes. On voit comment des gens peuvent soulever des montagnes lorsqu'ils ont la volonté de faire bouger des choses. On pourrait dire que les régions éloignées des grands centres n'ont pas de chances, comment ils sont traités injustement, ignorées.

Plusieurs fois, lorsque j'ai exprimé des insatisfactions sur la réalité actuelle, les pouvoirs politiques, les craintes face à l'avenir, Zoreilles répliquait qu'il se passait bien des choses dans son coin de l'Abitibi. Elle me parlait des pouvoirs incroyables d'une société, même éloignée, qui savait se mobiliser. J'ai pu constater à plusieurs reprises qu'elle avait tout à fait raison.

Ce film dont il est question dans secret de tournage révélé , il m'a fasciné sous plusieurs aspects. Je pourrais vous en parler beaucoup. Mais, je préfère ne pas couper le punch. Je vous invite plutôt à aller lire l'original sur le lien que je viens de laisser.

Je me permets toutefois d'attirer votre attention sur le fait qu'un des principaux artisans du film, Dominic Leclerc, est un jeune cinéaste prometteur dont Zoreilles est la belle-mère. Et le hasard a voulu que Zoreilles puisse avoir une contribution étonnante. Une belle histoire, une belle finale!

15 commentaires:

  1. Merci pour le clin d'oeil Jack ♥

    C'est vrai que Zoreille elle L'aime son coin de pays. Si tout le monde aimait la terre comme elle aime son Abitibi on serait bien non ?

    On m'a fait un beau compliment cette semaine, on m,a dit que j'avais l'air de l'aimer ma région d'adoption, ça m'a toucher au coeur, surtout que celui qui me disait m'invitait à lire un conte qu'il avait écrit avec sa mère et peut-être que mes photos seraient invitées à l'illustrer.

    Aimer et respecter la terre où l'on marche, c'est un bon début non ?

    Quand à Obama, j'ai une position un peu partagée, on a fait de Bush un diable et d'obama un ange... et si la vérité était entre les deux ?

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  2. Bonjour Éléonore,

    On voit que ce que tu dis est bien senti. Ce ne sont pas que des mots. Et le point de vue m'a bien intéressé.

    Aimer sa terre natale, la terre de ses ancêtres, c'est tout un stimulant. Ça donne de l'énergie, de la fierté, un puissant sentiment d'appartenance.

    On peut comprendre les déchirements quand des lopins de terre sont contestés,quand les frontières changent ou quand on doit s'expatrier. Il peut être plus difficile alors d'avoir des visions communes, le goût de protéger l'environnement.

    Tu as fait un pas de plus. J'ai trouvé bien significative cette remarque: On m'a fait un beau compliment cette semaine, on m,a dit que j'avais l'air de l'aimer ma région d'adoption, ça m'a toucher au coeur, surtout que celui qui me disait m'invitait à lire un conte qu'il avait écrit avec sa mère ...

    Je comprends ce que tu racontes. Et je le sens tellement! Cette terre que j'habite présentement, celle qui était la tienne, je l'ai dans le coeur.

    Ce serait bien, si ça se passait ainsi à l'étendue de la planète. Le plus terrible, ce sont les guerres de territoires. En même temps, on peut comprendre que ça existe.

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  3. Éléonore,

    Je respecte ton opinion. Et je pargage la mienne. Je suis peut-être dans les patates, mais je crois qu'il aurait été difficile de demander mieux à Obama et il aurait été difficile demande pire à Bush.

    Il n'est pas exagéré de dire que Bush a mis l'Amérique en faillite ou presque... Sauver les meubles tout en dotant les Américains d'un bon réseau d'assurnces sociales, ça tient presque du miracle.

    Mais je conserve une certaines naïveté. Je crois que la démocratie a besoin de sources d'inspiration pour fonctionner. On trouve dans tout être humain un côté ange et un côté démon. Un leader charismatique peut réveiller facilement l'un ou l'autre dans toute une nation.

    Hitler a rendu fous des citoyens allemands qui auraient pu être des modèles pour leur milieu.
    Éléonore,

    Je respecte ton opinion. Et je pargage la mienne. Je suis peut-être dans les patates, mais je crois qu'il aurait été difficile de demander mieux à Obama, même en politique internationale.

    Je trouve qu'on aurait pu s'attendre à pire de Bush. Je crois que Bush a mis l'Amérique en faillite ou presque... Sauver les meubles tout en dotant les Américains d'un bon réseau d'assurnces sociales, ça tient presque du miracle.

    Mais je conserve une certaines naïveté. Je crois que la démocratie a besoin de sources d'inspiration pour fonctionner. On trouve dans tout être humain un côté ange et un côté démon. Un leader charismatique réveille facilement l'un ou l'autre dans toute une nation.

    Hitler a rendu fous des citoyens allemands qui auraient pu être des modèles pour leur milieu. Avant l'arrivée d'Hitler, les Allemands étaient respectables et pacifiques pour la plupart.

    C'est ce que laisse entendre la série télévisée Amour, haine et propagnande que j'ai pu revoir dernièrement sur tout.tv

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  4. Pardon!

    Que mes ancêtres et ceux de Zoreilles me pardonnent mes fautes de français. J'en échappe toujours plus en pitonnant. Il faut bien trouver une bonne raison pour ne pas avoir l'air trop fou... J'ai pas envie de passer pour un gars de l'Abitibi.

    C'est juste une blague. Zoreilles est écrivaine publique et je n'ai pas encore eu l'occasion de lui trouver des fautes.

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  5. Juste pour te dire que je suis passée te lire Jackss…
    Bonne soirée.

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  6. Bonjour Éléonore,

    Tu as écrit suite à mon billet précédent: Pour ton fils, j'ai été me balader sur ses chansons en ligne, très intéressantes ! Lui et Michel Bélanger suivi d'un petit digestif de fin de soirée, c'est pas loin de la soirée idéale pour sa réchauffer quand l'automne devient hiver. S'il vient chez-moi me fera tu signes ?

    Comme tu peux le voir, l'agenda de Jipé est bien rempli. Il avait l'habitude de donner plus de spectacles pour son compte.Il avait prévu donner moins de spectacle à l'automne pour préparer son prochain CD l'an prochain. Mais les occasions pour des premieres parties étaient plutôt des chances à ne pas laisser passer.

    Je suis bien excité puisqu'il viendra à Havre-Saint-Pierre la semaine prochaine. Nous avons bien hâte.

    11 novembre : La Salle Desjardins-Telus Rimouski/
    12 Nov : Café de la Vieille Forge Petite-Vallée
    13 Nov 2010 20:00 : (Le Fou du Village) Bonaventure
    14 Nov 2010 20:00 (Maison de la Culture de Sainte-Anne-des-Monts) Ste-Anne-des-Monts
    16 Nov 2010 20:00 (Sous-sol de l'Église Saint-Pierre) Havre St-Pierre

    18 Nov 2010 20:00 (Café-Théâtre Graffiti) Port-Cartier

    20 Nov 2010 20:00 Magasin général Lebrun Maskinongé
    25 Nov 2010 20:00 (L'Impérial de Québec) Québec
    26 Nov 2010 20:00 (Pavillon des arts et de la culture de Coaticook) Coaticook
    3 Dec 2010 20:00 (Salle Pauline-Julien) Sainte-Geneviève
    4 Dec 2010 20:00(Théâtre Hector-Charland) L’Assomption

    les 2 qui suivent seront de Jipé
    Dec 2010 21:30 Spectacle-résidence au Quai des brumes Montreal
    11 Dec 2010 20:00 (Pavillon de l'Entrepôt) Montréal (Lachine)

    29 Dec 2010 20:00 Jipé Dalpé en 1ère partie de Gaële Grand Théâtre de Québec

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  7. Bonjour Hala,

    C'est gentil de me signaler ton passage, symbole de la fraternité humaine. C'est fou ce que la technologie permet de faire de nos jours.

    C'est émouvant de pouvoir partager ton vécu au Liban, sur ton blogue. On ne réalise jamais assez la chance que nous avons de vivre dans un contexte comme le nôtre. Et j'ose espérer que le fait d'en être plus conscients pourra aider à améliorer les choses.

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  8. Je passais par là pour faire un petit coucou mais je me rends compte que je suis fatiguée alors je ne vais pas commenter tout de suite. Mais pour commencer déjà un simple "merci".
    Bises!

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  9. Bien fait, Delphinium

    Sentir sa fatigue, c'est déjà mieux que l'inverse. Tenir compte du message qu'elle nous donne, c'est déjà mieux.

    J'apprécie tout de même le clin d'oeil.

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  10. Bonsoir,je ne vais pas me prononcer sur Bush et Obama... je ne suis pas américaine. J'ai bien une préférence entre les deux, celui avec le nom de famille qui commence par O. Mais "yes we can"... c'était un beau slogan et il ne porte apparemment pas tous ses fruits. Je me dis toujours que lorsqu'on fait de la politique, on devrait avoir des visions réalistes des choses et ne pas promettre monts et merveilles aux gens. Pourtant, c'est avec ce genre de discours que l'on se fait élire apparemment.
    Bon, bon, la politique américaine gouverne malheureusement une grande partie de notre monde. Les Européens restent souvent bien frileux devant la toute puissance des USA, et pourtant nos gouvernements auraient de quoi faire pression sur beaucoup de choses. Malheureusement l'Europe est en crise, politique et financière et les pays européens n'arrivent pas à faire front commun. Mais je ne vais pas commencer à m'emporter et à faire de la politique ici, tout le monde sait que la Suisse ne fait pas partie de l'Union Européenne...

    c'est compliqué tout cela, n'est-ce pas?

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  11. C'est tout à fait passionnant ce que tu racontes, Delphinium

    Avoir le point de vue perçu des hauteurs de la Suisse, c'est captivant. J'ai bien aimé. J'ai même souri en entendant ton allusion au Yes, we can.

    Je n'aurais pas imaginé qu'on pouvait avoir, en Europe, une vision comme celle que tu exprimes. Bush était tellement arrogant et intransigeant!

    Vu d'ici, au Québec, c'était peut-être pire. Lorsqu'il a été élu président des États-Unis, il parait qu'il ne pouvait même pas situer le Canada sur une carte. Quand je voyais son nom dans le journal, j'ai l'impression que je journal lui-même sentait le pétrole. En cas de litiges commerciaux, il n'y avait aucune négociation possible.

    J'aurais pensé que la réaction devait être pire vue de l'Europe. Même si on aime bien chiâler un peu contre les américains, nos rapports avec eux sont tout de même meilleurs qu'on le laisse paraître. Du moins, c'est mon cas.

    Notre histoire, nos familles, nos frontières n'ont pas toujours été très étanches. Nous venons d'ailleurs d'une partie du Québec (Cantons de l'Est autrefois Eastern Township) qui a été développée par les loyalistes.

    L'été, quand j'étais plus jeune, nous allions dans un camping près d'un lac du côté américain. L'endroit était superbe et tout se passait en français. Si un américain anglophone s'y présentait, nous avions l'habitude de dire que nous ne comprenions pas l'anglais. C'était notre façon d'occuper le territoire et le propriétaire, un vrai américain, jouait le jeu.

    J'aurais encore beaucoup de choses à dire, suite à ton commentaire. Et je suis sensible au fait que tout ne soit pas rose actuellement dans la communauté européenne.

    Tu écris: Malheureusement l'Europe est en crise, politique et financière et les pays européens n'arrivent pas à faire front commun. Voilà un autre sujet sur lequel je trouverais intéressant d'échanger. J'ai mes perceptions, mais elles peuvent être loin de la réalité.

    Et on ne peut nier que les québécois sont très sensibles à ce qui se passe en Europe. Nous avons une fibre européenne puisque nos racines y sont. Notre culture en est profondément teintée.

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  12. Ah la la, j'étais très en retard dans mes lectures chez toi. Un peu plus et j'allais passer à côté de ce véritable hommage à ma région. Tu as même fait des recherches, je suis épatée là!

    Tu sais, mon amour pour le Québec passe d'abord par ma région, c'est le prisme à travers lequel j'observe mon pays qui n'en est pas encore tout à fait un. Mais j'aime toutes les régions du Québec, chacune ayant ses particularités, ses ressources, ses points d'intérêt, sa culture, son histoire, son développement.

    Merci pour ce clin d'oeil.

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  13. Zut! j'avais dit dans mon dernier billet qu'il y avait 11 commentaires ici. Je vais passer pour un menteur ou un mauvais sorcier. Me voilà rendu à 14.

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  14. Bush ne savait pas non plus où était la Suisse...:-)

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  15. En venant lire ton billet, j'ai reçu un petit cadeau inattendu qui m'a, avouons-le franchement, remonté le moral et fait grand chaud au coeur. Jackss, merci beaucoup, je suis très touchée...

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