Quatre grandes personnalités ont retenu mon attention depuis mon arrivée ici, à Havre Saint-Pierre, il y a déjà plus de trois semaines:
L'auto, la neige, la nature et la mer
Si j'avais à choisir une seule d'entre elles comme personnalité du mois, laquelle pensez-vous que je choisirais ? Sans contredit, c'est l'auto. Le choix n'est peut-être pas romantique. Il est pratique, clair et sans équivoque. Il n'a rien à voir avec le fait que je suis, également sans contredit, de sexe masculin. Les hommes aiment autant les dames que les autos.
Pourquoi l'auto? C'est elle qui a fait couler le plus d'encre, suscité les plus grandes émotions, les plus grandes craintes, les plus grandes attentes, les plus grandes espérances. Chaque matin je pense à elle en premier en me levant: va-t-elle partir? Va-t-elle s'arrêter? Ensuite, je pense à Laure. Va-t-elle bien? A-t-elle passé une bonne nuit? À quelle heure va-t-elle partir? Va-t-elle s'arrêter au magasin ce soir quand je vais aller la chercher? Va-t-elle me laisser longtemps seul dans la fourgonnette ?
Revenons à la fourgonnette elle-même, à mon attachement pour elle. Il ne faut pas se le cacher, la vie c'est comme ça. Ce qui est acquis trop facilement n'a jamais la même importance que ce qui nous fait suer.
C'est comme l'histoire de l'enfant prodigue. Vous avez un petit monstre à la maison, vous vous inquiétez pour lui, vous vous faites du souci comme c'est pas possible. Le moindrement que vous sentez un geste de bonne volonté, vous oubliez tout. Vous ressentez de l'attachement très fort. Pour ma fourgonnette, c'est comme ça.
Comme chantait Willie Lamothe, le chanteur Wester: J'aimerais mieux voir mourir ma femme que voir mourir un de mes beaux boeufs. J'imagine qu'il avait du trouble avec ses boeufs.
Je n'oublierai jamais cette fourgonnette connue maintenant presque internationalement via mon blogue. Cette fourgonnette m'aura permis d'apprécier ma vraie auto comme jamais. C'est le coeur plein d'émotions que je me prépare à faire 2200 kilomètres pour aller récupérer cette auto restée à Sherbrooke. Reste à voir si de nouvelles aventures seront au rendez-vous.
Cette maison fait face à l'océan. Elle se trouve à l'endroit où j'ai photographié la mer. J'aimerais savoir si elle est à vendre.
C'est comme l'histoire de l'enfant prodigue. Vous avez un petit monstre à la maison, vous vous inquiétez pour lui, vous vous faites du souci comme c'est pas possible. Le moindrement que vous sentez un geste de bonne volonté, vous oubliez tout. Vous ressentez de l'attachement très fort. Pour ma fourgonnette, c'est comme ça.
Comme chantait Willie Lamothe, le chanteur Wester: J'aimerais mieux voir mourir ma femme que voir mourir un de mes beaux boeufs. J'imagine qu'il avait du trouble avec ses boeufs.
Je n'oublierai jamais cette fourgonnette connue maintenant presque internationalement via mon blogue. Cette fourgonnette m'aura permis d'apprécier ma vraie auto comme jamais. C'est le coeur plein d'émotions que je me prépare à faire 2200 kilomètres pour aller récupérer cette auto restée à Sherbrooke. Reste à voir si de nouvelles aventures seront au rendez-vous.
Cette maison fait face à l'océan. Elle se trouve à l'endroit où j'ai photographié la mer. J'aimerais savoir si elle est à vendre.
Tu m'as fait rire aux larmes, Jacks!
RépondreSupprimer;o)
T'es vraiment impayable...
Je suis en train de me demander si « J'aimerais mieux voir mourir ma femme que de voir mourir un de mes grands beu » ne serait pas une chanson du Père Gédéon?
Je t'en chante une autre, juste pour toi : « Si j'avais mon char/ Ça changerait ma vie/J'irais me promener su'l'bord/De la Minganie ».
Il faut me croire maintenant, Zoreilles,
RépondreSupprimerLa télépathie ça existe. Je télépathise avec mes amis. Toi aussi, c'est évident. C'est fort! Ça l'est encore plus à une distance pareille. L'Abitibi et la Côte Nord, c'est loin en bibittes!
En tout cas, avec des froids pareils, ça fait moins de mois durant lesquels un gars peut astiquer son char (à moins - les femmes du nord doivent avoior cette chance ;-S
RépondreSupprimerPour le reste, on peut déjà se demander si tu voudras revenir de Havre-St-Pierre lorsque l'année sera finie
Tu préfères ta voiture à ta femme ?... roooo, Jackss, tu n'es pas sérieux ?... Non, je sais bien que tu plaisantes... sourire
RépondreSupprimerBelle fin de soirée à toi !
Tu as raison, Françoise,
RépondreSupprimerj'ai toujours taquiné Laure. C'est une marque d'affection. Tant qu'on peut se moquer de quelqu'un, les bonnes relations sont assurées.
C'est vrai pour nos amis et encore plus vrai pour ceux qui sont différents de nous par le sexe, la couleur, l'âge, la religion, etc. Le jour où on ne plus plus le faire ou celui où on n'a plus le droit de le faire, il y a lieu de s'inquiéter.
Ici nous avons des spécialistes en la matière, les Bleus poudre. Ils ont appelé la Reine Élisabeht II, le défunt pape Jean-Paul II, Sarah Paulin, Ségoline Royal et bien d'autres. Ils ont réussi à les appeler sans trop de problèmes en se faisant passer pour un premier ministre du Québec ou du Canada.
Ils l'ont fait simplement pour s'amuser. Dans leur cas cependant, ils ont peut-ête dépassé les limites de l'acceptable à cause des conséquences.
Oooups, c'est épouvantable les fôôôtes que j'ai pu faire en laissant ce commentaire.
RépondreSupprimerEncre,
RépondreSupprimerC'est toujours rassurant de voir une faute dans le texte d'un autre.
Personnellement quand je travaille sur papier je ne fais que très peu de fautes. Mais avec mon doigté de dactylo, c'est une toute autre histoire. Je relis souvent mes textes une fois publiés et les cheveux me redressent sur la tête régulièrement.
Hahaha! Dans mon cas, je ne peux m'en prendre au clavier, je vais tout simplement trop vite (parce que les enfants m'appellent, parce que les patates vont brûler, parce que je devrais déjà être sur la route depuis dix minutes ;-) ) Il me faut apprendre à prendre mon temps ;-)
RépondreSupprimerj'adore ce billet encore une fois plein d'humour ...vas-tu réellement retourner chercher ta voiture? celle-là est tout de même folklorique maintenant.
RépondreSupprimerBonne journée bises de Bretagne et kenavo(au revoir en Breton)
On ne taquine que les gens qu'on aime, ça c'est bien vrai. Laure ne doit pas s'ennuyer avec toi Jacks ! Et quel sens de l'humour ! Les gens qui en sont dépourvus et se prennent très au sérieux sont à glacer le sang ( en tout cas le mien ). Ma photo préférée ? Celle du bas à gauche, ou à droite ( ? ), avec les épinettes enneigées.
RépondreSupprimerLa chanson des "beu", mon père la chantait, alors elle m'est familière.
Bonne journée !
N'oublie pas ton garagiste qui préfère probablement aussi voir arriver ta fourgonnette que sa femme !!!
RépondreSupprimerAh, ah, ah... Et moi aussi je l'aime ton char...
Mag xx
où il est question de boeufs, de voiture, de femme et de maison.
RépondreSupprimerEn espérant que la femme ne soit pas trop vache, qu'elle ne se tire pas avec la voiture juste avant d'avoir vendu la maison.
Bravo. J'aime toujours autant passer ici mais je n'ai pas beaucoup de temps alors s'il y a des jours où je ne passe pas, il ne faut pas m'en vouloir.
POur la maison de la dernière photo, trop tard, je viens de l'acheter. :-) bises
WOW!!!
RépondreSupprimerQuelles sublimes photos! J'ai réellement accroché sur clle où l'on voit la neige et l'eau plus loin. Superbe!
-xxx-
Kenavo, Marguerite Marie,
RépondreSupprimerJe suis effectivment venu Shercher on Acura à Sherbrooke. Je me sens compris par tes propos empreints de sensibilité.
J'aime bien ton expression. La fourgonnette est devenu en effet folklorique. Je vais avoir les deux à Havre Saint-Pierre. J'utiliserai l'une ou l'autre, selon mes états d'âme... :-)
Bonjour Lise,
RépondreSupprimerJe suis bien impressionné par ta culture. La chanson des boeufs est comme ma fourgonnette. C'est une pièce incontournable de folklore.
Actuellement, je ne prends que des photos avec mis au point automatique. J'étudie ma caméra pour mettre plus en valeur ses fonctionnalités. J'irai en forêt pour te rapporter d'autres photos d'épinettes enneigées, dussai-je me perdre dans la forêt pour trouver les plus belles.
Magenta,
RépondreSupprimerTu me touches beaucop, il faut que je le dise: je me sens aimé. Celui ou celle qui aime mon char, c'est comme si le sentiment m'était adressé.
Et si je comprends bien ton commentaire, il faut que je surveille le garagiste pour qu'il ne s'intéresse davantage à ma femme qu'à mon char.
Bonjour Delphinium,
RépondreSupprimerTrès heureux de savoir que tu viens d'acheter la maison sur le bord de la mer. Je vais bientôt me présenter à la porte avec mon chapeau en fourures de renard, des fleurs et une bouteille de champagne.
À moins que ce soit un ballon que tu me lançes...
Bonjour Âme tourmentée,
RépondreSupprimerJ'aime bien cette photo moi aussi. Je ne regrette qu'une chose: ne pas l'avoir fait apparaître en plus grand format en cliquant dessus. L'effet serait beaucoup plus en valeur.
Le bleu du ciel et le blanc de la neige font un très beau contraste aux couleurs du Québec.
Ici, à Harvre Saint-Pierre, il y a comme une bataille de drapeaux. On en voit beaucoup:
Drapeaux du Canada sur les édifices fédéraux,
drapeaux du Québec,
drapeaux des Acadiens,
drapeaux du Club de hockey des Canadiens de Montréal.
Bonjour Encre,
RépondreSupprimerComme disait Confucius, mieux vaut avoir des problèmes de pitonnage sur son clavier que de problème de connection web.
Nous sommes partis de Havre Saint-Pierre le 10 février au matin. En arrivant à Sherbrooke, mon ordi s'est mis à bouder. Impossible de le brancher. J'utilise actuellement l'ordi de ma nièce à Sherbrooke.
Veuillez agréer, chère Encre, mes saluations les plus distinguées.
coucou. J'espère que les problèmes d'ordi vont se régler. Jackss nous manque dans la blogosphère!
RépondreSupprimerC'est bien gentil ce petit mot, Delphinium!
RépondreSupprimerJe viens tout juste de revenir à Havre Saint-Pierre après un périple de 2250 kilomètres. Il faut apprendre à composer avec les grandes distances...
J'ai bien hâte moi aussi de reprendre contact. Je vais déposer un nouveau billet aujourd'hui ou demain.
Au plaisir!