La vie nous réserve parfois bien des surprises au moment où on s'en attend le moins.
Un événement peut bouleverser complèment notre vie, sans crier gare. Il suffit d'un seul événement, pafois très anodin. Quand je pense à ce que vivent des dizaines de fromageries du Québec, j'ai le goût de pleurer. Un si noble métier! Et dire qu'à l'origine, il y a pu n'y avoir qu'un seul couteau mal lavé. Mois, j'avoue que parfois, je lave un peu vite mes couteaux. Que Dieu me pardonne! Qu'il me pardonne mes offenses comme je pardonne à ceux qui m'ont offensé. Je me retiens pour ne pas donner de noms, en commençant par la famille Trudeau.
D'accord, il y a eu des infections, des morts. Il y a eu de l'information suivie d'une panique bien compréhensible. Aurait-on pu faire mieux? Je suis mal placé pour le dire. Mais pour tous les travaileurs de cette industrie, c'est un bien triste destin. Il y a une certaine similitude avec les pêcheurs de phoques des iles, les travailleurs des usines d'amiante.
Tantqu'à moi,Brigitte Bardot peut aller se rhabiller. Et, personnellement, je vais continuer à manger du fromage. C'est une question de choix.
En attendant, les souris sont comblées.
Elles croient au miracle et remercient le Ciel.
Hervé Philippe de La Tribune
Alors nous serons 2, car moi non plus, je ne m'abstiendrai certainement pas de bons fromages québécois!
RépondreSupprimerJ'en ai mangé pour souper et c'est pas une blague. Je t'en garde un beau gros morceau. Les souris vont juste s'en passer un peu.
RépondreSupprimerSérieusement, je crois que s'il faut paniquer chaque fois qu'on nous en donne l'occasion, c'est le coeur qui va lâcher sous le choc du stress.
Merci pour ta visite, sourcil jaune. C'est toujours apprécié. Quant à moi, je crois qu'il serait peut-être souhaitable que je prenne trop le plancher sur ton blogue. Je ne voudrais pas rendre personne mal à l'aise. Un un mononcle dans le décor, avec ses grands mots, ça pourrait peut-être déranger.
Ça n'empêche pas que je fasse de courtes visites de politesse à l'occasion.
La caricature est super drôle. Et ton propos, plus sérieux qu'il n'y paraît.
RépondreSupprimerCette saga, cette crise médiatique me laisse perplexe. Je me demande toujours à qui sert tout ce cirque. Je n'ai pas de réponse.
Pourtant, au sujet des chasseurs de phoques aux Iles, je sais pourquoi et comment on arrive à les discréditer, les salir sur la scène internationale. Le lobbying de Greenpeace est très fort, il sert les intérêts financiers de l'organisme. Pour ça, j'ai le mobile du crime.
Mais pour les fromagers du Québec? Je ne comprends pas pourquoi et comment on est arrivés à créer cette véritable psychose collective.
Tu vises dans le mille, Zoreilles
RépondreSupprimerJe me demande toujours à qui sert tout ce cirque.
J'en suis rendu à me poser cette question chaque fois que j'entends ou vois une information en provenance des médias.
Et on croit vivre en démocratie. C'est comme si on nous demandait de commenter une image que l'on nous transmet à travers un miroir déformant.