Vous ne pouvez vous bâtir une réputation sur ce que vous avez envie de faire (Henry Ford)
C'est la fête des mères...
J'avais pensé acheter des fleurs à Laure pour la circonstance. Mais la nature s'en est chargée.
Mon pommier s'est inondé de fleurs. Si on juge un arbre à ses fruits, ça promet. Il ne restera plus qu'à apprécier si la réalité est à la hauteur de ses promesses.
J'ose vous faire une promesse à mon tour: revenir régulièrement sur mon blogue. Il ne s'agit que d'un rêve pour l'instant, un début de promesse.
Je vous comprends de ne pas me prendre au mot et d'attendre que mon blogue porte ses fruits. Mais je dois vous faire un aveu: c'est un coucou de Nanou qui m'a donné l'idée, par hasard, de revenir précisément aujourd'hui, renaître avec mère nature.
Bonne fête à toutes les mères.
Une belle journée et un beau bonjour à Laure et à toi bien sûr.
RépondreSupprimerMerci pour cet accueil, le Factotum. Tu es le plus vite.
RépondreSupprimerJe suis heureux de te voir. Je dois faire vite. Laure a fini de préparer le souper de fête des mère et je dois aller trancher le rôti. C'est fou ce que nous, les hommes nous devons faire de nos jours dans une maison :-)
Il était tout à fait normal que tu reviennes au printemps, avec la renaissance de la nature.
RépondreSupprimerJe suis très heureux, qu'à tout le moins, tes rêves se soient réactivés, afin de nous permettre de rêver à notre tour à ton possible retour parmi nous, sur ce blog.
Je te souhaite de passer une heureuse journée de la fête des mères en compagnie de ta tendre moitié
Alors là,c'est bien vrai,
RépondreSupprimerle printemps est arrivé.
Jackss est de retour.
Notre patience et la confiance
en notre ami a porté fruit,
comme les promesse de ton pommier.
Bien content de te lire à nouveau Jackss.
Bonjour Réjean,
RépondreSupprimerHeureux de te retrouver. Il parait qu'il n'y a pas de hasard. Le printemps, la renaissance, tout était prêt pour un renouveau. Et, bien honnêtement, votre compagnie manquait.
J'aime marché seul tout en occupant mes esprits. Savoir qu'on a un endroit où partager le fruit de ses discussions, c'est un vrai cadeau du ciel. Ça stimule l'inspiration. As-tu le livre du docteur: 7 raisons de croire à l'au-delà?
Tu as toujours été un bon sujet pour aider à pousser un peu plus loin mes propres réflexions. Réjean, c'est bien Réjean, le seul, l'unique, le vrai.
Plusieurs sujets alimentent mes réflexions, présentement, sans prétention. À suivre...
Toi aussi, je suis dans les derniers mois. En vain!
RépondreSupprimerQuel dommage! J'aurais bien aimé voir si ta barbe était plus blanche que la minne.
Et j'ai perdu ma citoyenneté en tant que membre de la Côte-Nord.
Me voilà revenu en Estrie (Cantons de l'Est) en prepanence.
Je suis plus loin de la Gaspésie. Mais j'aimerais tellement y mettre les pieds.
Oui, Jacques, je suis bel et bien le «seul, l'unique, le vrai» Réjean de tes souvenirs, celui qui parcourt presque à tous les jours, les allées du parc Lafontaine, seul, lui aussi, perdu dans ses réflexions.
RépondreSupprimerEt effectivement, Jacques, il n'y a pas de hasard. J'en suis même fermement convaincu au point que je pense désormais, que tout ce qui nous arrive dans la vie, tout comme toutes les personnes que l'on côtoie, ne sont rien de plus que notre propre reflet miroir, afin de nous aider à comprendre qui nous sommes vraiment, au delà de l'image égotique que nous avions toujours cru être.
Si je te pousse, comme tu dis, toujours plus loin dans tes propres réflexions, c'est que je ne suis rien d'autre qu'un de tes «miroirs», comme nous le sommes tous, d'ailleurs. Et puis, les mots «réflexions» et «reflets» ne sont-ils pas associés tous les deux à une surface réfléchissante quelconque, telle celle d'un miroir.
Encore moi,
RépondreSupprimerJ'avais oublié de répondre à une autre de tes questions :
«As-tu le livre du docteur: 7 raisons de croire à l'au-delà?
Non je n'ai pas lu le livre du docteur Charbonnier, mais j'ai vu un vidéo sur Youtube, je crois, où ce médecin était interviewé sur ce même sujet. Je rajouterais que là où j'en suis rendu dans tout mon cheminement intérieur, je n'ai pas besoin de lire ce livre pour non plus croire, mais savoir que tout cela est bien réel.
Bonjour Réjean,
RépondreSupprimerPersonnellement, tu le sais, je suis naturellement sceptique. Il me faut souvent voir pour croire.
Mais, justement, il y a des choses que j'ai vécues. Et je les reconnais dans les propos du docteur.
Mais, tout comme toi, je n'ai pas besoin de lire le livre. Je l'ai acheté à la demande d'une amie. Je ne l'ai pas ouvert. Il a pourtant été chez moi pendant une semaine.
Ce que je sais de la pensée du docteur, ça vient de deux entrevues avec lui que j'ai attrapées par hasard.
Eh bien, j'ai ma éponse ici. Sur mon blogue, je vous demandais si vous étiez de retour!
RépondreSupprimerNul besoin d,attendre, je vous crois sur parole.
Grand-Langue
Hello Grand-Langue,
RépondreSupprimerJe suis honoré de ta visite sur mon blogue, après une si longue absence.
J'ai vécu 4 ans sur la Côte-Nord en Minganie. J'ai adoré. Il me reste tant de choses à raconter. J'avais commencé par exemple à raconter la croisière sur le Nordik Express. C'est un voyage inoubliable que j'aimerais commenter jusqu'au bout. Un vrai dépaysement.
Ce chapitre étant bouclé, c'est fou tout ce que j'ai lien de raconter en lien avec mes fameux détours improvisé. J'ai plusieurs idées qui bouillonnent dans ma tête. Il ne restera plus qu'à les mettre en forme.
Et puis, c'est de l'Estrie que je me ferai ensuite l'ambassadeur en faisant tout ce qu'il faut pour provoquer des choses et créer de nouveaux contacts.
Te revoilà... Que je suis contente de « t'entendre » à nouveau et puis, dis donc, tu as « l'air » en forme? J'ai hâte de lire tes réflexions et tes nouveaux détours improvisés.
RépondreSupprimerD'autres ont écrit avant moi que puisque tu étais revenu, le printemps était vraiment arrivé. J'endosse avec enthousiasme ce commentaire, ma foi, assez évocateur du fait que tu nous as beaucoup manqué, mon cher Jacks.
Au plaisir et dis un beau bonjour à Laure.
P.S.: Savais-tu que nous ne sommes plus sur le bord du lac Dufault? Après 22 ans et une foule de belles aventures, nous sommes maintenant rendus « en ville ». Une longue histoire... mais qui finit bien!
Tabarnouche, Zoreilles
RépondreSupprimerC'est toute une révolution. Tu n'es plus au Lac Dufault? Comment je vais faire pour imaginer ton univers? J'ai toujours en tête, en pensant à toi et ton chum, un décor de rêves en pleines natures où chantent les cigales et les grenouilles.
Je t'entends jouer de la guitare près de feu de bois pour chasser les moustiques.
Je suis heureux de te retrouver, Zoreilles. Sur ce, je me sauve avec Laure, direction Pépinière St-Élie.
Comment tu vas faire pour imaginer mon univers? Je suis pas inquiète pour toi, t'as l'imaginaire plutôt fertile et nous serons de plus en plus souvent à notre camp en forêt... près des rivières des Outaouais et Darlens. Disons qu'on élargit nos horizons puisque la rivière des Outaouais finit sa course dans le fleuve! Oui oui, il y a encore des cigales, des grenouilles et je peux jouer de la guitare sur la galerie, sur le quai, dans le bateau et partout où je veux mais ça ne chasse toujours pas les moustiques ni les mouches noires!
RépondreSupprimerJe suis maintenant retraitée, tu sais. T'as pas idée comme je me sens liiiiiiiibre! Quant à Gilles, il gère différemment son travail, lui aussi de plus en plus libre. Le bonheur, quoi.
La pépinière... J'ai hâte d'être rendue là. Pour le moment, je fréquente plutôt les pépines que les pépinières, on est dans la construction du garage! Il paraît que c'est une nécessité dans la vie d'un homme, je me suis laissée dire ça... ;o)