Le 15 août 2008,
je vous ai raconté le décès de mon père.
Perdre son père ou sa mère est toujours un événement traumatisant. Dans mon cas, je ne pensais pas que le décès de mon père me bouleverserait autant. Je ne l'avais presque pas connu.
La seule vraie conversation que j'ai eue avec lui, c'était peu de temps avant sa mort. Pour moi, cet événement fut un moment très marquant. Je remercie le Ciel de me l'avoir permis. Je ne le savais pas, mais il était minuit mois cinq lorsque je me suis présenté chez lui.
Une série de coïncidences ont fait que je suis le seul membre de la famille a l'avoir vu dans ses derniers instants. Il était calme, lucide. En fait il n'avait plus de contact avec personne depuis des années. Il n'en avait avec personne: ses frères, ses soeurs, ses enfants ma mère.
Ce qui est providentiel, c'est que j'ai pu être le messager de ses derniers instants auprès de sa mère, des autres membres de la famille. Ce fut comme un baume d'apprendre qu'il avait été en paix avec lui-même avant de partir. Quand j'ai rencontré sa mère, ma grand-mère, elle a dit avec grande émotion: Mon bébé. J'ai perdu mon bébé. Elle a pleuré.
Les prochaines lignes sont la suite du billet du mois d'août.
Voici un bref résumé de la fin du billet.
Mai 1985
Mon père m'a parlé de sa décision de ne pas se faire traiter. Et il ne voulait pas étirer son agonie dans la souffrance. Lui et moi, nous avions parlé pendant des heures. Il a dit qu'il avait manqué sa vie, mais qu'il ne voulait pas manquer sa mort. Il a jouté: Mes valises sont prêtes pour le Ciel. Je suis sûr que Dieu existe. Ça ne se peut pas avoir tant souffert pour rien. J'ai dit à mon père qu'il devait se reposer un peu.
Je suis descendu dans le salon. À ma grande surprise, il m'a suivi dans l'escalier. Il a allumé la télévision, changé de poste. Il m'a raconté des histoires et ri de bon coeur. De toute évidence, il venait de croiser le bonheur. C'est ainsi que je l'ai laissé.
Environ 3 jours plus tard, c'était le 22 mai. La fête de Laure. Je lui avais acheté un téléphone sans fil environ un mois auparavant. Il était prêt à l'emploi dans une boîte de cadeau. Elle n'avait pas fini d'ouvrir la boîte lorsque le téléphone sonna.Le téléphone était pour moi. C'était un appel de l'hopital de St-Jérome. On m'annonça que mon père venait de décéder. Le hasard nous a secoué. Ce téléphone n'a jamais plus sonné pour nous. Nous l'avons donné.
Je suis allé aux funérailles. L'émotion que j'ai ressenti, je ne l'avais pas vu venir, du moins pas aussi forte.
Peu de temps après, ma mère nous recevait tous chez elle. Quand je suis entré dans la chambre de ma mère, il y avait une Bible ouverte à la même page que celle de l'Évangile qui avait servi aux funérailles de mon pêre. Pourtant, j'étais le seul à y avoir assisté, avec Laure. J'ai trouvé la coïncidence intrigante. J'en ai parlé avec stupéfaction à un point tel que Micheline s'en rappelle encore.
Quelques autres événements aussi spectaculaires se sont produits durant le mois qui a suivi. Je ne peux rien expliquer. Mais j'ai été drôlement intrigué. Et je me sens tout petit dans l'univers. Il me reste trois recettes de bonheur: la foi, l'espérance et l'amour.
Chacun a sa vie, ses recettes personnelles. Chacun a recette de bonheur et de survie. Ce sont les miennes. Elles me conviennent. Mais je ne crois pas qu'il y ait de recettes miracles. Il n'y a que des miracles, c'est à dire des dimensions qui nous dépassent. Vous y croyez ?
je vous ai raconté le décès de mon père.
Perdre son père ou sa mère est toujours un événement traumatisant. Dans mon cas, je ne pensais pas que le décès de mon père me bouleverserait autant. Je ne l'avais presque pas connu.
La seule vraie conversation que j'ai eue avec lui, c'était peu de temps avant sa mort. Pour moi, cet événement fut un moment très marquant. Je remercie le Ciel de me l'avoir permis. Je ne le savais pas, mais il était minuit mois cinq lorsque je me suis présenté chez lui.
Une série de coïncidences ont fait que je suis le seul membre de la famille a l'avoir vu dans ses derniers instants. Il était calme, lucide. En fait il n'avait plus de contact avec personne depuis des années. Il n'en avait avec personne: ses frères, ses soeurs, ses enfants ma mère.
Ce qui est providentiel, c'est que j'ai pu être le messager de ses derniers instants auprès de sa mère, des autres membres de la famille. Ce fut comme un baume d'apprendre qu'il avait été en paix avec lui-même avant de partir. Quand j'ai rencontré sa mère, ma grand-mère, elle a dit avec grande émotion: Mon bébé. J'ai perdu mon bébé. Elle a pleuré.
Les prochaines lignes sont la suite du billet du mois d'août.
Voici un bref résumé de la fin du billet.
Mai 1985
Mon père m'a parlé de sa décision de ne pas se faire traiter. Et il ne voulait pas étirer son agonie dans la souffrance. Lui et moi, nous avions parlé pendant des heures. Il a dit qu'il avait manqué sa vie, mais qu'il ne voulait pas manquer sa mort. Il a jouté: Mes valises sont prêtes pour le Ciel. Je suis sûr que Dieu existe. Ça ne se peut pas avoir tant souffert pour rien. J'ai dit à mon père qu'il devait se reposer un peu.
Je suis descendu dans le salon. À ma grande surprise, il m'a suivi dans l'escalier. Il a allumé la télévision, changé de poste. Il m'a raconté des histoires et ri de bon coeur. De toute évidence, il venait de croiser le bonheur. C'est ainsi que je l'ai laissé.
Environ 3 jours plus tard, c'était le 22 mai. La fête de Laure. Je lui avais acheté un téléphone sans fil environ un mois auparavant. Il était prêt à l'emploi dans une boîte de cadeau. Elle n'avait pas fini d'ouvrir la boîte lorsque le téléphone sonna.Le téléphone était pour moi. C'était un appel de l'hopital de St-Jérome. On m'annonça que mon père venait de décéder. Le hasard nous a secoué. Ce téléphone n'a jamais plus sonné pour nous. Nous l'avons donné.
Je suis allé aux funérailles. L'émotion que j'ai ressenti, je ne l'avais pas vu venir, du moins pas aussi forte.
Peu de temps après, ma mère nous recevait tous chez elle. Quand je suis entré dans la chambre de ma mère, il y avait une Bible ouverte à la même page que celle de l'Évangile qui avait servi aux funérailles de mon pêre. Pourtant, j'étais le seul à y avoir assisté, avec Laure. J'ai trouvé la coïncidence intrigante. J'en ai parlé avec stupéfaction à un point tel que Micheline s'en rappelle encore.
Quelques autres événements aussi spectaculaires se sont produits durant le mois qui a suivi. Je ne peux rien expliquer. Mais j'ai été drôlement intrigué. Et je me sens tout petit dans l'univers. Il me reste trois recettes de bonheur: la foi, l'espérance et l'amour.
Chacun a sa vie, ses recettes personnelles. Chacun a recette de bonheur et de survie. Ce sont les miennes. Elles me conviennent. Mais je ne crois pas qu'il y ait de recettes miracles. Il n'y a que des miracles, c'est à dire des dimensions qui nous dépassent. Vous y croyez ?
A suivre... J'apporterai d'autres éléments bientôt.
Mais je ferai une toute petite pause entre ce billet et l'autre.
Il s'agira d'une détente agréable. Vous savez que nous avons été figurants pour la production du vidéoclip de Carole Facal (Caracol, autrefois des Dobacaracol). Je vous présenterai le vidéoclip réalisé pour Musique Plus. Il aussi quelques photos prises lors du tournage.
Bonsoir Jacks,
RépondreSupprimerTon billet je l'ai lu avec beaucoup d'intérêt. Les coïncidences se sont multipliés avant et après son départ. Il a su qu'il devait partir.
Pour ce qui du fait qu'il a su son départ prochain, j'ai aucun mal à la croire.
Ma grand-mère Marie, est décédée le 13 octobre 2008 durant son sommeil. Mon père est intimant convaincu qu'elle savait qu'elle allait mourir.
Ma grand-mère était atteinte de la vilaine maladie d'Alzheimer. Elle perdait la mémoire au point de ne plus se rappeler de son fils (mon père), du repas qu'elle avait mangé à midi ... Et j'en passe,
La veille de sa mort (c'est mon père qui m'a raconté cette histoire car mes parents résident en France et je vis au Luxembourg, je n'étais donc pas présente), Marie s'est levée très tôt dans la matinée, elle a réveillé ma mère et lui a demandé de l'accompagné le jour même au Château de Coucy (château fort construit à partir du XIII e siècle sur un éperon rocheux dominant les vallées de l'Oise et de l'Ailette), à vrai dire les ruines sont plus présentes aujourd'hui. Ma mère et mon père se sont dit qu'après un bon petit déjeuner et bien ma grand-mère oublierai son souhait de visiter le Château de Coucy, mais elle n'a pas démordu. Elle a gardé toute la journée sa lucidité, elle se rappelait de son fils, du lieu où elle se trouvait des souvenirs rattachés au Château... Après la visite du Château elle a demandé à mon père la possibilité de manger dans un certain restaurant qu'elle fréquentait durant sa jeunesse, ce que fît mon père. Le soir à la maison, elle a demandé à ma mère de lui lire un passage de la bible. Le lendemain matin, ma mère la trouvait morte dans son lit.
Mon père dit qu'elle a su qu'elle allait mourir.
J'ai assisté au funéraille de ma grand-mère, j'aurais aimé ressentir comme toi Jacks, sa présence mais cela n'était malheureusement que désolation.
Je t'embrasse fort,
Sueanne
Ce qui me touche le plus dans ton histoire, c’est ce lien intense qui t’a uni à ton père, dans ses derniers moments. Cet instant de bonheur a dû être autant pour toi que pour lui.
RépondreSupprimerJe présume que durant la longue conversation que tu avais eue avec lui, tu avais dû mentionner ce téléphone cellulaire que tu te proposais de donner à ta sœur pour son anniversaire. En avais-tu donné le numéro à ton père pour faire la surprise à Laure ? Ce dernier aurait alors eu ce numéro sur lui, lors de son entrée à l’hôpital, d’où l’appel que tu as reçu de façon aussi tragique.
La page d’évangile pourrait être un curieux hasard en effet, mais il pourrait aussi être la connaissance par ta mère, du passage généralement lu lors de funérailles, et le décès de ton père l’aurait incité, par pensée pour lui, à relire ces versets.
Mais ce que je sais, c’est que tu sais mieux que moi, capter toutes les synchronicités qui se présentent dans ta vie, ce qui te porte à beaucoup d’introspection. Cela, allié avec ton expérience vécue sur le plan social, font de toi un être extrêmement attachant et humain.
Bonsoir Sueanne,
RépondreSupprimerCette scène si émouvante, c'est comme du cinéma: le décor, l'ambiance, le mystère. J'ai toujours aimé visiter les châteaux du Moyen-Âge, me retrouver dans le même décor qu'il y a des centaines d'années, avoir l'impression d'être présents avec les générations qui s'y sont succédèes dans le tumulte.
Et c'est là qu'elle a voulu aller. La symbolique est intéressante. Elle nous dépasse. Comment en effet a-t-elle pu dans son état, à ce moment précis vouloir y aller? J'ai souvent entendu cette phraseC'est comme si elle savait qu'elle allait mourir. J'ai eu l'occasion aussi d'être témoin de cette lucidée perdue et retrouvée au dernier moment.
Mon père demeurait à environ 8 heures de route de ma demeure, aller-retour. J'avais pris une journée de congé spécialement pour aller le voir. Il est possible que ma présence lui ait permis de se laisser aller. On parle abondamment de ce phénomène dans la Source Noire.
Quand ma mère attendait sa fin à l'hopital, c'est incroyable le nombre de jours qu'elle a pu survivre avant son décès. Elle n'avais plus ni nourriture, ni sérum, rien. Et elle survivait une journée après l'autre. L'infirmière disait: Il y a quelque chose qui retient votre mère. Souvent, il s'agit de quelque chose qui n'est pas réglé.
À la fois troublant et émouvant!
Bonjour Réjean,
RépondreSupprimerTu as une curiosité que j'aime bien. Quand il y a un phénomène que je ne comprends pas, j'ai tout de suite de trouvé une explication simple et logique. J'échafaude des hypothèses.
Détails sur le téléphone. Je crois qu'il s'agit là d'une pure coïncidence sans plus. C'était la fête de Laure, ma compagne. C'est à elle que je venais d'offrir l'appareil sans fil, pour sa fête. Le numéro de téléphone était connu. Ce qui a rendu la situation dramatique, c'est le fait qu'elle était en train de déballer ce cadeau quand le téléponne a sonné. Ça nous a secoué dans les circonstances, sans nous intrigués pour autant.
Pour ce qui est de la Bible, c'est différent. Il y avait des années qu'elle ne l'avait vu. Ils n'ont d'ailleurs pas passé beaucoup d'années ensembles. J'ai toujours eu l'impression qu'ils s'aimaient, mais n'étaient pas fait pour vivre ensembles.
Lorsque j'ai vu la Bible ouverte à la bonne page, j'ai tout de suite demandé à ma mère si elle l'avait regardée dans les derniers jours. Elle m'a répondu par la négative. Je crois même qu'elle a été surprise de la voir ouverte. Ma soeur Micheline a le même souvenir.
Merci de ton appréciation, Réjean. Comme dit parfois mon beau frère à la blague: C'est réversible! Ta présence ici a beaucoup contribué à alimenter ma réflexion.
Comment démêlé le hasard, la synchronicité, et autre phénomène de la parapsychologie? Aucune idée!
RépondreSupprimerPour moi, l'événement suivant relève du pur hasard. Mais il surprend.
Environ 2 semaines avant la mort de ma mère, mon frère Michel était venu la visiter à l'hôpital. Nous savions que ses jours étaient comptés.
Michel regardait le numéro de la porte de chambre: 0521. Il nous dit: Je n'aime pas ce numéro. Micheline, la psy, lui répondit Voyons, Michel. Ce numéro a toujours été là pour tout le monde. Les gens qui sont passés ici ne sont tout de même pas tous mort le 21 mai.. Michel disait C'est fou, mais ça me fatigue. Je pense qu'elle va mourir le 21 mai.. Il l'a répété à plusieurs reprises.
C'est ce qui est arrivé. Elle est décédée le 21 mai, la veille de la fête de Laure. Mon père est décédé le jour de la fête de Laure.
Dans ce cas, pour moi, c'est clair: c'est un pur hasard. Mais, c'est sûr que dans un cas pareil, on se pose tout de suite une question.
Mon message d'hier n'a pas du passer apparemment. Hier j'ai eu des soucis de connexions alors je pense que mon commentaire n'a pas été acheminé. Sourire.
RépondreSupprimerBonsoir Jacks,
Je te disais donc hier, que le Château de Coucy est énormément visité. En France, nous aimons les musées d'histoire, l'histoire de notre ville, notre région. Nous aimons nous rendre dans les batisses qui ont fait, auparavant, avancer ou reculer pendant un temps des hommes, c'est pour ça que les visites de sites tel les château sont très appréciées.
Cependant dans le cas de ma grand-mère, elle était attaché à ce château car c'est au milieu de ses ruines qu'elle a rencontré mon grand-père, donc je peux comprendre son besoin. Quant à la maladie Alzheimer, c'est une mémoire qui va et qui vient. c'est étrange.
Je t'embrasse fort,*
Sueanne
Bien oui, Sueanne, je n'ai pas eu ton message d'hier.
RépondreSupprimerHeureusement, celui d'aujourd'hui c'est bien rendu. Ma mère et sa mère ont toutes deux souffert aussi d'Alzheimer. Une maladie terrible!
La mienne était à un stade peu avancé. Peut-être le pire dans un sens. Elle était consciente du fait qu'elle avait la maladie. Elle avait des pertes de mémoire qui la rendait méfiante. Elle avait parfois l'impression que je voulais lui voler ses affaires, etc.
Les châteaux d'Europe sont pure enchantement. Nous en avons visité plusieurs. Le château de Vincennes entre autre m'avait bien impressionné. Nous avions vu le cachot de Latude, du Marquis de Sade, etc.
Je vais te faire une confidence, je fais beaucoup de photos, surtout des églises, j'adore l'art des vitraux, des crucifix. J'adore prendre les tombes en photo, je parle de tombes anciennes, avec parfois des statues d'anges, de la vierge marie, ... je visite beaucoup les cimetières pour cette raison ainsi que les églises, ma grand-mère avait le même péché que moi en matière de photographie mais pour elle s'était la nature.
RépondreSupprimerJe me souviens qu'au début de sa maladie, ma grand-mère se méfiait de tout le monde, il a été très difficile de lui faire comprendre qu'elle devait déménager chez mes parents. d'ailleurs nous avions du décorer sa chambre comme la sienne pour qu'elle se sent bien chez elle, il lui a fallu bien 1 mois avant de l'accepter en quelque sorte. Ma grand-mère était très douce d'ailleur il y a une photo d'elle sur mon blog avec un poème que j'avais écrit avant sa mort.
Je t'embrasse,
Sueanne
Sueanne,
RépondreSupprimerJ'aime bien les confidences, surtout quand elles riment aussi bien avec coïncidences.
Plus jeune, il n'est pas éxagéré de dire que la photo était mon principal hobby. J'en prenais beaucoup. J'ai pris beaucoup de photo dans des cimetières.
Avant de connaître Laure, j'ai eu une copine qui adorait se faire photographier dans un cimetière. À cette époque, la mode était aux diapositives. Il faudra que j'étudie mon scanner pour les récupérer en photos numériques.
Je crois me souvenir de la photo de ta grand mère dont tu parles et du poème. Je vais retourner voir. Tu étais bien attachée à elle. C'est touchant. Une belle sensibilité.
Aujourd'hui, à la radio de Radio-Canada, on parlait d'une personnalité peu commune. Un monsieur qui avait fait en parallèle son cours de médecine et son cours de piano. On disait que le piano développait la sensibilité aux personnes et aux événements.
Mine de rien, ce que tu racontes éveille en moi un tas de souvenirs qui font germer dans ma tête le scénario d'un billet à venir.
Merci de partager avec nous de si beaux moments.
Donc vous aviez la passion, moi je n'aurais jamais osé prendre des photos de moi dans un cimetière, malgré mon caractère, je respecte les morts, je ne marche ou ne m'assoie jamais sur une tombe.
RépondreSupprimerLa diapositive, j'ai pu en voir quand j'étais toute petite, mon dieu comme la technologie avance vite. Si tu as la possibilité de les mettre en ligne je me ferais une joie de venir les contempler.
Je t'embrasse,
Sueanne
C'est promis, Sueanne,
RépondreSupprimerÇa fait des années que j'y pense. J'ai plusieurs centaines de diapositives. D'un jour à l'autre, on met souvent au lendemain jusqu'au jour où l'on voit que les décennies ont passé.
Maintenant, c'est mon honneur qui est en jeu, puisque j'ai promis! S'il s'avère que je suis un homme d'honneur, je te serai très reconnaissant de m'en avoir donné l'occasion.
En plus, je sais qu'il y a plusieurs témoins de la promesse. Si je me fie aux statistiques sur l'affluence au Détour improvisé, il y a plus de visiteurs que les messages ne le laissent croire.
J'en profite pour saluer tout ce beau monde et vous dire merci d'être là, même discrets. :-)
Bonsoir cher ami,
RépondreSupprimerAlors je patienterai, sourire.
Chez moi aussi une promesse est une promesse,
Je t'embrasse,
Sueanne
Je ne l'oublierai pas
RépondreSupprimerJe vais attendre un peu pour voir si tu vas l'oublier. :-)
Je viens de parler avec Michel, mon frère
RépondreSupprimerIl me signale que j'ai fait un petit oubli. Il était lui aussi aux funérailles de mon père. C'est impardonnable, mais j'avais oublié. On oublie parfois des détails et la mémoire n'efface pas l'information par ordre décroissant d'importance.
Michel se souvient très bien lui aussi de l'incident de la Bible et de l'émoi que l'incident avait causé. Il a remarqué le phénomène comme moi ayant été présent aux funérailles et chez ma mère lorsque l'on a découvert à quelle page la Bible était ouverte.