tag:blogger.com,1999:blog-3049998118479422863.post5102181594949721732..comments2023-08-18T10:10:50.665-04:00Comments on Détour improvisé: Présence... la suite no.3Jacksshttp://www.blogger.com/profile/06237763863096722673noreply@blogger.comBlogger15125tag:blogger.com,1999:blog-3049998118479422863.post-13631461677783709382012-03-13T11:39:33.225-04:002012-03-13T11:39:33.225-04:00Je vous remercie d'avoir mis le lien de mon bl...Je vous remercie d'avoir mis le lien de mon blog ici et la facon dont vous l'avez présenté me touche beaucoup! <br />Votre article sur la présence et l'absence a tout son sens aussi pour nous qui sommes loin de tous nos proches!<br />Merci encore à vous pour votre marque de sympathieAlinehttp://notrerevequebecois.over-blog.com/noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3049998118479422863.post-47205543834020864452012-03-09T22:04:31.227-05:002012-03-09T22:04:31.227-05:00Jacques,
Il n'y a pas à dire, ta cuvée 2012 s...Jacques,<br /><br />Il n'y a pas à dire, ta cuvée 2012 s'annonce pour être un cru remarquable. Tes nouveaux billets ont le don de susciter énormément de questionnements sur ce que pourrait être l'humain du futur, tellement les idées proposées nous obligent à regarder au plus profond de nous-mêmes.<br /><br />Ce commentaire que tu as fait, en réponse à Zed, m'a particulièrement intéressé :<br /><br />« <i> Ce qu'il y a de fascinant dans l'espèce humaine, c'est qu'elle se perpétue de générations en générations en apportant avec elle le meilleur et le pire de ce qui a été vécu avant et qu'on appelle l'évolution. C'est une forme d'immortalité que seul l'homme pourra faire disparaître un jour.</i> »<br /><br />Ce meilleur et ce pire apportés par les générations, s'agglutinent et s'intensifient au fil des millénaires, exacerbant les tensions. Pour préserver cette forme d'immortalité, comme tu dis, il faudra que les humains apprennent à se positionner au centre des deux extrêmes qu'ils portent tous en eux, si on veut que notre monde demeure viable.<br /><br />Et pour se centrer, Zed nous donne une piste :<br /><br />«<i>On a beau vouloir et piocher, certaines scories en nous sont comme intégrées au tissu qui fait ce que nous sommes. Pas facile à accepter ça!</i> »<br /><br />Ce n'est pas facile à accepter, mais c'est primordial de le faire puisque c'est ce que nous sommes. Il nous faut accepter nos défauts tout autant que nos qualités. On se glorifie de nos succès liés à nos qualités, et on rejette sur les autres par effet miroir, la responsabilité de toutes nos faiblesses. On reproche aux autres ce qu'on refuse de voir en nous-mêmes. Elle est là, la cause de l'accroissement de toutes les tensions.Réjeanhttp://notredevenir.wordpress.com/noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3049998118479422863.post-68914009659452757592012-03-09T20:43:45.081-05:002012-03-09T20:43:45.081-05:00Je crois bien saisir ce que vous dites au sujet de...Je crois bien saisir ce que vous dites au sujet de la présence.<br /><br />Grand-LangueGrand-Languehttps://www.blogger.com/profile/02885497098708190535noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3049998118479422863.post-56152088269030065102012-03-09T20:34:31.451-05:002012-03-09T20:34:31.451-05:00Bonjour Zed
Je viens de visiter ton blogue
Qu’e...Bonjour Zed<br /><br />Je viens de visiter ton blogue <br /><br /><i>Qu’est-ce que certaines affirmations peuvent me mettre en colère quand elles s’appuient sur une absence de mémoire et, pire encore, de désir de mémoire, de motivation à connaitre son histoire. Ainsi prépare-t-on le 8 mars. Je suis en guerre contre ce qu’ici, trop de jeunes femmes ont fait, font de cette fête. Et de ces jeunes [...] </i><br /><br />Bravo! Ça complète bien ce que tu viens d'exprimer ici. Tout à fait cohérent!Jacksshttps://www.blogger.com/profile/06237763863096722673noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3049998118479422863.post-59840506186190037862012-03-09T20:07:26.786-05:002012-03-09T20:07:26.786-05:00Bonjour Zed pour cette belle présence
Oui, c'...Bonjour Zed pour cette belle présence<br /><br />Oui, c'est vrai. J'ai eu beaucoup de plaisir à te lire. Je sens tellement de vécu dans ce que tu racontes. Et pour moi ce fut comme un cadeau. <br /><br />Tout comme toi, j'ai un immense respect pour le passé, pour ceux qui sont passés avant nous et ont fait ce que nous sommes. <br /><br />Hier, j'ai eu la curiosité de cliquer sur un lien qui menant à 10 hôtels tristement célèbres pour les drames qui s'y sont produit. L'un deux était celui où Robert Kennedy avait tiré à bout portant, non pas à distance, comme on l'avait prétendu auparavant. On disait que l'hôtel avait été détruit pour faire place à des tours. <br /><br />D'autres aussi ont connu le même sort. Et je trouvais bien triste qu'on fasse ainsi disparaître facilement de grands témoins de notre histoire, même les plus tristes. <br /><br />Ce qu'il y a de fascinant dans l'espèce humaine, c'est qu'elle se perpétue de générations en générations en apportant avec elle le meilleur et le pire de ce qui a été vécu avant et qu'on appelle l'évolution. C'est une forme d'immortalité que seul l'homme pourra faire disparaître un jour.Jacksshttps://www.blogger.com/profile/06237763863096722673noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3049998118479422863.post-13914305753896984742012-03-09T18:52:44.692-05:002012-03-09T18:52:44.692-05:00Ta présence, fut-elle virtuelle, en cache à peine ...Ta présence, fut-elle virtuelle, en cache à peine une autre. Et elle me manquait, alors, me voilà.<br /><br />Ton billet, je l'aime énormément.<br /><br />J'ai eu l'occasion de lire un article l'autre jour, qui parlait de l'importance du toucher. Car à mon avis, une présence corporelle est souvent encore davantage une absence blessante qu'une présence virtuelle libre et attentionnée.<br /><br />Tu parles, toi, de présence dans son sens plein. <br /><br />Je trouve aussi que le passé devient souvent jetable. Moi qui absorbe lentement, même si je suis toujours tournée vers l'avant, je ne jette pas facilement les souvenirs qui furent importants pour moi. Je les cache comme des trésors qui aident à vivre ou ajoutent à la joie de vivre. Et quand un souvenir chéri a été jeté aux poubelles par les personnes-mêmes qui l'avaient confectionné, je me dis que, fort heureusement, j,ai su prendre la décision la plus viable pour moi en n'ayant plus d'attentes envers qui que ce soit sauf moi-même. <br /><br />Et là, je rejoins certains propos de Réjean. On a beau vouloir et piocher, certaines scories en nous sont comme intégrées au tissu qui fait ce que nous sommes. Pas facule à accepter ça!<br /><br />Merci pour ce billet plein de cœur, comme toujours, Jackss. Je ne suis pas venue ici par hasard, par contre! Je savais que j'y trouverais de quoi me mettre sous la dent de l'âme.Air fouhttp://airfou.comnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3049998118479422863.post-89272421612855553432012-03-08T20:34:14.935-05:002012-03-08T20:34:14.935-05:00Zoreilles
Être présent à soi-même comme on l'...Zoreilles<br /><br /><i>Être présent à soi-même comme on l'est aux autres. </i><br /><br />Souvent, j'écris mes billets directement en me laissant guider par l'inspiration du moment.<br /><br />Mais il m'arrive d'avoir une idée et le la laisser germer avec quelques repères. Et cette citation de toi que j'ai reprise au début de ce commentaire rejoint justement quelques mots que j'ai laissés pour un prochain billet. <br /><br />J'ai repris ma retraite le 1er mars dernier. Ce qui me plait le plus, c'est cette capacité de réfléchir. Les occasions se font rares lorsque des préoccupations professionnelles nous envahissent trop.<br /><br />Je ne sais pas si je vais publier ce prochain billet auquel je viens de faire allusion. J'ai une autre idée.Jacksshttps://www.blogger.com/profile/06237763863096722673noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3049998118479422863.post-85072832234380950092012-03-08T20:21:24.737-05:002012-03-08T20:21:24.737-05:00Ce que tu racontes est très juste, Réjean.
Tu tra...Ce que tu racontes est très juste, Réjean.<br /><br />Tu traduis parfaitement ma réalité. Je l'ai vécu de façon assez étonnante à plusieurs reprises dernièrement.<br /><br />Il y a des jours où je me pose des questions fondamentales. Il y a des jours où je fais plusieurs prises de conscience. Puis, en prenant un livre au hasard, en écoutant une entrevue, je trouve une réflexion qui colle parfaitement à la situation. La pertinence est tellement forte, les commentaires tellement précis en lien avec mon vécu que j'en suis étonné. C'est comme si je trouvais par hasard une confirmation ou un élément dont j'avais besoin pour aller plus loin.<br /><br />Nous sommes vraiment sur la même longueur d'onde.Jacksshttps://www.blogger.com/profile/06237763863096722673noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3049998118479422863.post-33481601820403478402012-03-08T12:11:21.102-05:002012-03-08T12:11:21.102-05:00Jacques,
Dans ton premier commentaire tu disais ...Jacques, <br /><br />Dans ton premier commentaire tu disais : <br /><br />«<i> Moi qui parle toujours de synchronicité et vois si peu de présence sur ce billet qui en est le thème, il faudra que je révise ma théorie.</i> »<br /><br />Je suis convaincu que les synchronicités sont de moins en moins situées au niveau de la théorie, puisque pour moi du moins, elles font partie de ma réalité. De plus, leurs occurrences dans ma vie, se font à une fréquence qui tend à s'accélérer.<br /><br />Les synchronicités ont le « don » d'arriver sur notre parcours, au moment où on en avait le plus besoin en cas de blocage, pour nous permettre de continuer à avancer. C'est par exemple, au hasard d'un mot entendu, d'une phrase lue ou d'un objet qui attire notre attention, que subitement, nous arrive par intuition, le lien magique qui met bouts à bouts, toute une série d'éléments qui nous donnent instantanément une meilleure compréhension du nous-même. Dans mon cas, c'est une toute petite phrase que tu avais écrite à la fin de ton billet « On ne change jamais », qui m'a redonné l'élan nécessaire pour définitivement m'ancrer en moi-même et finalement m'accepter totalement, inconditionnellement, tel que je suis. Cela m'avait d'ailleurs incité à reprendre la plume temporairement, le temps de quelques billets supplémentaires sur mon blog. Là où j'ai changé, c'est que je me suis rapproché de la partie de moi qui ne change jamais et que dans mon cas, j'avais tenté jusque là de nier et de rejeter, justement à cause qu'elle était non conforme aux dictats de notre société. Et comme je te l'avais dit dans un commentaire d'alors, c'est la société qui cherche à nous changer.<br /><br />Toutefois, pour que ces synchronicités débloquantes se manifestent à notre attention, il nous faut être très présent à soi-même afin de pouvoir les percevoir.Réjeanhttp://notredevenir.wordpress.com/noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3049998118479422863.post-12179557755944420742012-03-08T10:09:34.254-05:002012-03-08T10:09:34.254-05:00Bon, ça y est, j'ai manqué le spectacle de Jip...Bon, ça y est, j'ai manqué le spectacle de Jipé! C'était hier. Mais j'aime toujours suivre sa carrière, même si c'est de loin un peu, je me sens tout près de lui, comme de vous deux. <br /><br />« On va s'aimer encore » de Vincent Vallières, offerte par Jipé, directement à Havre Saint-Pierre, il vous connaît bien... Et ça se sent qu'il vous aime beaucoup pour vous offrir ça, que vous êtes des repères solides pour lui, des ancrages importants, comme pour plein d'autres personnes. <br /><br />Quel billet riche de plusieurs réflexions, un regard franc et empreint de profondeur sur ce que nous avons été, ce que nous sommes en train de devenir, comme société aussi. Ça me parle beaucoup beaucoup. <br /><br />D'une manière plus personnelle, je trouve aussi qu'on apprend plus de nos erreurs que de nos bons coups. Et pour ça, il faut accepter de se regarder en face, avec honnêteté, pas pour se taper dessus en culpabilisant mais pour prendre le temps de mieux comprendre pour mieux agir dans le présent et l'avenir. <br /><br />En ce sens, la réflexion de Réjean complète à merveille ton billet : être présent à soi-même comme on l'est aux autres.Zoreilleshttps://www.blogger.com/profile/09649355594992267401noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3049998118479422863.post-59697258597476965352012-03-07T13:12:01.856-05:002012-03-07T13:12:01.856-05:00Jacques,
Tu dis : « Il fut un temps où on cherch...Jacques,<br /><br />Tu dis : «<i> Il fut un temps où on cherchait la stabilité. On s'attachait au passé, aux traditions. On ne verra plus jamais ce genre de situation.</i> »<br /><br />J'ai le même sentiment. Il semblerait même que nos habitudes du passé devront faire place à une nouvelle habitude, qui est de vivre au jour le jour l'instant présent, afin de nous adapter en continu à tous ces changements, qui comme tu le dis, nous arrivent à la vitesse de l'éclair.<br /><br />Je ne sais pas si la désinstitutionalisation aura été une bonne ou une mauvaise chose, je peux au moins me dire que grâce à cela, mes chances d'internement auront été minimisées en raison de ma façon de penser.:-)))Réjeanhttp://notredevenir.wordpress.com/noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3049998118479422863.post-39071412650685858282012-03-06T23:16:39.492-05:002012-03-06T23:16:39.492-05:00Réjean,
Nous sommes dans une société où tout chan...Réjean,<br /><br />Nous sommes dans une société où tout change à la vitesse de l'éclair. Même nos commentaires. Il fut un temps où on cherchait la stabilité. On s'attachait au passé, aux traditions. On ne verra plus jamais ce genre de situation. Nos sociétés s'ouvrent, se mélangent, s'effacent... comme un message qui disparait et revient dans une autre forme avant qu'on ait pu réagir.<br /><br />Un petit détail tout à fait différent. Le Centre hospitalier universitaire est situé dans un décor tout à fait magnifique, en pleine nature. On peut se demander pourquoi il n'est pas situé en pleine ville. La raison est surprenante. On n'a pas voulu le faire pour des raisons humanitaires. Ce serait trop beau. On l'a mis à l'écart tout simplement parce qu'on voulait au départ en faire un hôpital psychiâtrique. C'était avant de penser à la désinstitutionalisation.Jacksshttps://www.blogger.com/profile/06237763863096722673noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3049998118479422863.post-40965292846946068642012-03-06T14:32:25.541-05:002012-03-06T14:32:25.541-05:00Tu parles de la blague que tu avais mise en commen...Tu parles de la blague que tu avais mise en commentaire avant le mien... :-) <br /><br />Je l'avais mise en préambule de mon propre commentaire. Mais au moment de faire un copie/coller de mon texte sur ton blogue, je me suis aperçu que tu avais retiré ton commentaire. J'ai donc modifier mon propre commentaire en conséquence. <br /><br />C'est te dire que je suis bien présent... Ha, ha, ha !Réjeanhttp://notredevenir.wordpress.com/noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3049998118479422863.post-34104934800696447352012-03-06T12:51:53.846-05:002012-03-06T12:51:53.846-05:00Commentaire très pertinent, Réjean
C'est ce q...Commentaire très pertinent, Réjean<br /><br />C'est ce que l'on appelle être authentique. C'est drôle, mais ça rejoint bien l'image du couple, côte à côte, sur ce billet. Il ne parle pas, mais communique autrement.<br /><br />J'avais voulu faire une blague. Mais je voulais reformuler le tout autrement pour ne pas porter à équivoque. Je me préparais à écrire: <i> Moi qui parle toujours de synchronicité et vois si peu de présence sur ce billet qui en est le thème, il faudra que je révise ma théorie.</i><br /><br />Mais ce n'était qu'une blague trop facile pour la laisser passer.Jacksshttps://www.blogger.com/profile/06237763863096722673noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3049998118479422863.post-2452396380399170882012-03-06T12:15:22.182-05:002012-03-06T12:15:22.182-05:00Bonjour Jacques,
J'ai été long à répondre.
L...Bonjour Jacques,<br /><br />J'ai été long à répondre.<br /><br />L'absence de commentaires, Jacques, ne signifie pas nécessairement l'absence de notre présence. Ton billet, toujours très intéressant,comme d'habitude, était la suite de tes précédents; je ne trouvais tout simplement pas de commentaires nouveaux à dire sur le moment de ma lecture. Je me contentais de jongler sur cette notion de présence.<br /><br />Je dirais que la présence ne signifie pas seulement être présent auprès des autres. Ce terme est beaucoup plus vaste; mais comme j'en ai parlé sur mon court blog, je ne vais donc pas me répéter ici. J'ajouterais tout simplement une remarque qui rejoint un commentaire que j'avais déjà fait chez Zoreilles, sur l'un de ses billets. J’essaie dans le cours de mon existence actuelle, de demeurer totalement présent aux autres, oui, mais aussi à moi-même, c'est-à-dire de demeurer totalement conscient de moi-même en toutes circonstances, quoique je fasse, qui que je rencontre, et non pas d'agir sur un mode automatique inconscient. La nuance est très subtile, mais quand on l'a pleinement comprise, nos perceptions des choses et de ce qu'on croit être la vie, ne sont plus jamais comme avant.Réjeanhttp://notredevenir.wordpress.com/noreply@blogger.com